Il s’est forgé un nom dans le microcosme du parapente et du paramoteur, au point de devenir l’un des rares professionnels dans le milieu. Le wavrien Thomas de Dorlodot est devenu un « crack » dans sa discipline. Un pilote qui fait la Une de l’actualité dans le milieu, dont les performances et les expéditions aux quatre coins du monde ne passent pas inaperçues tant il repousse les limites.
Il y a peu, le jeune pilote a tout simplement signé un record d’altitude, en compagnie de son collègue et ami Ramon Morillas, au cœur des montagnes de l’Himalaya. Sous l’œil de la caméra de Sebastian Alvaro, le producteur de la prestigieuse émission espagnole « Al filo de lo Imposible », Thomas de Dorlodot a réussi à atteindre la barre des 6.625 mètres sur son parapente, sans oxygène. Au passage, il a pulvérisé le précédent record de 4.526 mètres. Incroyable ! Et s’il avait eu de l’oxygène à bord, le nouveau protégé du team Red Bull estime qu’il aurait pu établir un record plus impressionnant encore, en grimpant jusqu’au moins 7.000 mètres. Ce n’est sans doute que partie remise, connaissant le tempérament de feu du parapentiste de 24 ans.
Sa soif de sommets est devenue tellement intense que l’on peut se demander où cela va s’arrêter. A peine en a-t-il fini avec un challenge qu’il pense déjà au suivant, toujours à la recherche de nouvelles sensations. Comme si sa vie dépendait de ses performances. « J’en veux toujours davantage, je suis très compétitif. J’ai ce défaut ou cette qualité de vouloir être au top. Ça fait avancer le sport, de repousser les limites, d’aller dans l’inconnu. Là où personne n’est jamais allé. »
Il y a peu, le jeune pilote a tout simplement signé un record d’altitude, en compagnie de son collègue et ami Ramon Morillas, au cœur des montagnes de l’Himalaya. Sous l’œil de la caméra de Sebastian Alvaro, le producteur de la prestigieuse émission espagnole « Al filo de lo Imposible », Thomas de Dorlodot a réussi à atteindre la barre des 6.625 mètres sur son parapente, sans oxygène. Au passage, il a pulvérisé le précédent record de 4.526 mètres. Incroyable ! Et s’il avait eu de l’oxygène à bord, le nouveau protégé du team Red Bull estime qu’il aurait pu établir un record plus impressionnant encore, en grimpant jusqu’au moins 7.000 mètres. Ce n’est sans doute que partie remise, connaissant le tempérament de feu du parapentiste de 24 ans.
Sa soif de sommets est devenue tellement intense que l’on peut se demander où cela va s’arrêter. A peine en a-t-il fini avec un challenge qu’il pense déjà au suivant, toujours à la recherche de nouvelles sensations. Comme si sa vie dépendait de ses performances. « J’en veux toujours davantage, je suis très compétitif. J’ai ce défaut ou cette qualité de vouloir être au top. Ça fait avancer le sport, de repousser les limites, d’aller dans l’inconnu. Là où personne n’est jamais allé. »
En quête de « spots ultimes »
Thomas de Dorlodot ne pourrait sans doute pas s’en passer mais sa quête de records et de sports jamais explorés n’est malheureusement pas sans risque, il le sait pertinemment bien : il est tombé sous le charme d’une discipline par essence nettement plus dangereuse que les sports traditionnels. Et comme notre compatriote pousse sa passion aux antipodes des sentiers battus, cela peut donner des frissons pour le moins importants et déconseillés aux cardiaques. Le Maca a d’ailleurs vécu une énorme frayeur lors de son expédition dans l’Himalaya, frôlant la catastrophe en plein vol. Il a été victime d’un « black out » suite à une ascension, trop fulgurante, de 3.000 mètres en une dizaine de minutes seulement.
« J’ai quasiment perdu connaissance, je ne voyais plus rien.
Ça aurait pu être grave, surtout dans de tels endroits, où les secours n’auraient pas pu nous atteindre et où les erreurs ne pardonnent donc pas. A ce moment précis, j’ai pu me rendre compte de mes limites. Je revenais du Red Bull X’Alps (la course réputée la plus éprouvante au monde), j’avais une bonne condition physique et je me suis vu plus fort que je ne l’étais réellement. Parfois, on joue tellement avec le feu…C’est une sacrée leçon d’humilité. »
A peine remis de ses émotions et de son record du monde, le wavrien s’était envolé pour de nouvelles aventures en Inde et au Népal. Toujours dans le même esprit, vivre sa passion et en prendre plein les yeux.
Thomas de Dorlodot ne pourrait sans doute pas s’en passer mais sa quête de records et de sports jamais explorés n’est malheureusement pas sans risque, il le sait pertinemment bien : il est tombé sous le charme d’une discipline par essence nettement plus dangereuse que les sports traditionnels. Et comme notre compatriote pousse sa passion aux antipodes des sentiers battus, cela peut donner des frissons pour le moins importants et déconseillés aux cardiaques. Le Maca a d’ailleurs vécu une énorme frayeur lors de son expédition dans l’Himalaya, frôlant la catastrophe en plein vol. Il a été victime d’un « black out » suite à une ascension, trop fulgurante, de 3.000 mètres en une dizaine de minutes seulement.
« J’ai quasiment perdu connaissance, je ne voyais plus rien.
Ça aurait pu être grave, surtout dans de tels endroits, où les secours n’auraient pas pu nous atteindre et où les erreurs ne pardonnent donc pas. A ce moment précis, j’ai pu me rendre compte de mes limites. Je revenais du Red Bull X’Alps (la course réputée la plus éprouvante au monde), j’avais une bonne condition physique et je me suis vu plus fort que je ne l’étais réellement. Parfois, on joue tellement avec le feu…C’est une sacrée leçon d’humilité. »
A peine remis de ses émotions et de son record du monde, le wavrien s’était envolé pour de nouvelles aventures en Inde et au Népal. Toujours dans le même esprit, vivre sa passion et en prendre plein les yeux.