Le début du commencement …
Petite déjà, les yeux pétillants de Kay Butler faisaient des ravages. Pleins de malice, ils en disaient déjà long sur son opiniâtreté. Adolescente, elle quitte son Angleterre natale et quelques années plus tard, se marie avec Jean-Philippe Miest, architecte paysagiste et décorateur. Chacun vacant à ses occupations, s’épanouit dans sa profession. Jusqu’au jour où – il y a 7 ans - elle prend la décision d’abandonner le secrétariat suite à une opportunité offerte par sa société. Tout va vite, très vite, elle accepte. La question se pose donc. Que va-t-elle faire pour rester dans le mouvement, dans son indispensable mouvement ?
La réponse lui vient sous la forme d’une machine à coudre. Mais, bon sang, mais c’est bien sûr ! La petite jupe large à porter avec des Santiags dont elle rêve depuis si longtemps – elle va se la coudre elle-même. Quelques rudiments acquis ça et là, et ça marche ! La jupe lui va à merveille et … l’appétit de coudre s’ensuit très rapidement. Kay a tout son temps et, pour remercier son mari de lui avoir offert la machine à coudre, elle décide de lui confectionner un pyjama – mais pas n’importe lequel – un pyjama en imitation peau de léopard ! Un peu surpris, mais beau joueur, Jean-Philippe porte - exhibe même à la première occasion - le cadeau qui lui est fait, et pousse l’élégance jusqu’à lui demander de lui faire un peignoir en tissu animalier. Ok, mission accomplie dès le lendemain.
Puis lui vint le goût d’en faire plusieurs –toujours en imitation de peau de bêtes - pour finir par en coudre une quantité telle – qu’elle organise un défilé dans la maison de famille de Jean-Philippe et ses frères et sœurs sur le point d’être vendue. Tout le monde a joué le jeu et ça a rendu les adieux moins douloureux. C’est dans la joie donc qu’ont arpenté le tapis rouge devant les amis ébahis, des zèbres, des tigres, des léopards, des guépards.
Very very fun !
Petite déjà, les yeux pétillants de Kay Butler faisaient des ravages. Pleins de malice, ils en disaient déjà long sur son opiniâtreté. Adolescente, elle quitte son Angleterre natale et quelques années plus tard, se marie avec Jean-Philippe Miest, architecte paysagiste et décorateur. Chacun vacant à ses occupations, s’épanouit dans sa profession. Jusqu’au jour où – il y a 7 ans - elle prend la décision d’abandonner le secrétariat suite à une opportunité offerte par sa société. Tout va vite, très vite, elle accepte. La question se pose donc. Que va-t-elle faire pour rester dans le mouvement, dans son indispensable mouvement ?
La réponse lui vient sous la forme d’une machine à coudre. Mais, bon sang, mais c’est bien sûr ! La petite jupe large à porter avec des Santiags dont elle rêve depuis si longtemps – elle va se la coudre elle-même. Quelques rudiments acquis ça et là, et ça marche ! La jupe lui va à merveille et … l’appétit de coudre s’ensuit très rapidement. Kay a tout son temps et, pour remercier son mari de lui avoir offert la machine à coudre, elle décide de lui confectionner un pyjama – mais pas n’importe lequel – un pyjama en imitation peau de léopard ! Un peu surpris, mais beau joueur, Jean-Philippe porte - exhibe même à la première occasion - le cadeau qui lui est fait, et pousse l’élégance jusqu’à lui demander de lui faire un peignoir en tissu animalier. Ok, mission accomplie dès le lendemain.
Puis lui vint le goût d’en faire plusieurs –toujours en imitation de peau de bêtes - pour finir par en coudre une quantité telle – qu’elle organise un défilé dans la maison de famille de Jean-Philippe et ses frères et sœurs sur le point d’être vendue. Tout le monde a joué le jeu et ça a rendu les adieux moins douloureux. C’est dans la joie donc qu’ont arpenté le tapis rouge devant les amis ébahis, des zèbres, des tigres, des léopards, des guépards.
Very very fun !
De fil en aiguille
Ces anecdotes montrent à l’envi que Kay et les siens sont très liés et prêts à l’accompagner dans toutes les folies.
Mais pour elle, une telle révélation doit forcément signifier quelques chose – elle y voit un signe. Plutôt du genre fourmi, Kay commence à créer, à inventer des manteaux, des robes, des accessoires qu’elle réalise seule dans sa maison à Genval. Ses sources d’inspiration ? Tout ! Un tableau qu’elle aime, des couleurs avec lesquelles elle jongle avec audace. Du matin au soir, du soir au matin, elle dessine des modèles, elle coupe, elle pique sans relâche. Jusqu’au moment où un stock impressionnant de vêtements n’envahisse son show-room et ses mannequins dont Brenda – sa « chouchoute » qui trône dans son hall avec son regard fixe et son sourire figé.
C’est alors que Kay imagine de faire un « vrai » défilé – où elle inviterait plein de monde. C’était il y a deux ans. Depuis lors, le nom de Kay Butler est devenu familier et beaucoup de femmes décident de lui confier la responsabilité de leur garde-robe. Parce que oui, ce qui sort de ses mains est beau, gracieux, et tellement féminin. Parce que oui, Kay est à l’écoute. Qu’elle comprend vite et bien ce que les femmes lui demandent. Pour flatter une silhouette en l’allongeant, pour donner du corps a une femme trop mince, pour camoufler les petits défauts sournois – Kay est championne. Elle rassure la cliente inquiète, elle écoute celle qui manque d’assurance, elle en console une autre qui lui confie ses soucis.
Par la force des choses donc, son travail la conduit en permanence à créer des sympathies et à sceller des amitiés durables. Tout ce qu’elle aime !
Ces anecdotes montrent à l’envi que Kay et les siens sont très liés et prêts à l’accompagner dans toutes les folies.
Mais pour elle, une telle révélation doit forcément signifier quelques chose – elle y voit un signe. Plutôt du genre fourmi, Kay commence à créer, à inventer des manteaux, des robes, des accessoires qu’elle réalise seule dans sa maison à Genval. Ses sources d’inspiration ? Tout ! Un tableau qu’elle aime, des couleurs avec lesquelles elle jongle avec audace. Du matin au soir, du soir au matin, elle dessine des modèles, elle coupe, elle pique sans relâche. Jusqu’au moment où un stock impressionnant de vêtements n’envahisse son show-room et ses mannequins dont Brenda – sa « chouchoute » qui trône dans son hall avec son regard fixe et son sourire figé.
C’est alors que Kay imagine de faire un « vrai » défilé – où elle inviterait plein de monde. C’était il y a deux ans. Depuis lors, le nom de Kay Butler est devenu familier et beaucoup de femmes décident de lui confier la responsabilité de leur garde-robe. Parce que oui, ce qui sort de ses mains est beau, gracieux, et tellement féminin. Parce que oui, Kay est à l’écoute. Qu’elle comprend vite et bien ce que les femmes lui demandent. Pour flatter une silhouette en l’allongeant, pour donner du corps a une femme trop mince, pour camoufler les petits défauts sournois – Kay est championne. Elle rassure la cliente inquiète, elle écoute celle qui manque d’assurance, elle en console une autre qui lui confie ses soucis.
Par la force des choses donc, son travail la conduit en permanence à créer des sympathies et à sceller des amitiés durables. Tout ce qu’elle aime !
L’heure de la récompense
Kay parle avec enthousiasme d’un moment très important au cours des différentes étapes de la confection. C’est quand, le vêtement étant fini, peaufiné, et ayant fait l’objet de toute la précision professionnelle requise, elle place dans le col, l’étiquette portant son nom. A cet instant elle signe son travail. L’émotion l’étreint, la fierté toute légitime l’envahit. Ce n’est qu’à cet instant précis, qu’elle considère que son vêtement est accompli et peut vivre sur une personne qu’elle rencontrera bientôt.
Deux ans après la présentation de sa première collection, Kay en a fait du chemin.
Toujours plus audacieuse dans ses choix, elle invente des nouvelles façons de porter certaines de ses pièces. Pour vous donner une idée, elle a créé une blouse qui peut se porter de 5 ou 6 manières différentes selon les circonstances : dos nu, châle, col roulé, capuchon, épaules dégagées – rien ne manque à ce modèle pratique et pluriel.
Pour Kay, il est temps maintenant de montrer le travail de deux ans – ses nouveautés – ses accessoires très mode et … son petit dernier qui complète harmonieusement les tenues impatientes d’être portées. Le chapeau est entré en force et avec élégance sur les étagères de la créatrice. Ils sont très colorés, bien étudiés et, évidemment assortis aux manteaux et autres pièces de la belle collection Kay Butler.
Enfin, il serait injuste de ne pas rendre hommage à Jean-Philippe – son époux.
Il l’accompagne dans toutes ses fantaisies et lui apporte ses idées pour mettre en valeur les créations de Kay. Une complémentarité sans faille, doublée d’une heureuse complicité.
Si vous ne connaissez pas Kay Butler, nous espérons vous avoir convaincus de sa force créatrice et de son incontestable talent.
Kay parle avec enthousiasme d’un moment très important au cours des différentes étapes de la confection. C’est quand, le vêtement étant fini, peaufiné, et ayant fait l’objet de toute la précision professionnelle requise, elle place dans le col, l’étiquette portant son nom. A cet instant elle signe son travail. L’émotion l’étreint, la fierté toute légitime l’envahit. Ce n’est qu’à cet instant précis, qu’elle considère que son vêtement est accompli et peut vivre sur une personne qu’elle rencontrera bientôt.
Deux ans après la présentation de sa première collection, Kay en a fait du chemin.
Toujours plus audacieuse dans ses choix, elle invente des nouvelles façons de porter certaines de ses pièces. Pour vous donner une idée, elle a créé une blouse qui peut se porter de 5 ou 6 manières différentes selon les circonstances : dos nu, châle, col roulé, capuchon, épaules dégagées – rien ne manque à ce modèle pratique et pluriel.
Pour Kay, il est temps maintenant de montrer le travail de deux ans – ses nouveautés – ses accessoires très mode et … son petit dernier qui complète harmonieusement les tenues impatientes d’être portées. Le chapeau est entré en force et avec élégance sur les étagères de la créatrice. Ils sont très colorés, bien étudiés et, évidemment assortis aux manteaux et autres pièces de la belle collection Kay Butler.
Enfin, il serait injuste de ne pas rendre hommage à Jean-Philippe – son époux.
Il l’accompagne dans toutes ses fantaisies et lui apporte ses idées pour mettre en valeur les créations de Kay. Une complémentarité sans faille, doublée d’une heureuse complicité.
Si vous ne connaissez pas Kay Butler, nous espérons vous avoir convaincus de sa force créatrice et de son incontestable talent.