Cuistrerie, synonyme de chichi, j’aime bien ce mot !
31 ans à peine, ce jeune journaliste sorti de L’UCL en 2007 se lance, tête baissée, en tant que pigiste pour Vers l’Avenir et RTL, il s’occupera ensuite des bulletins d’info sur Radio Contact. Il se met ensuite à bosser pour le magazine « indices », toujours sur RTL TVI.
C’est alors qu’il intègre les Niouzz sur la RTBF, tournant sérieux dans sa vie qui le verra prendre place au sein d’une chaîne publique, dont il fait actuellement partie des futurs piliers.
31 ans à peine, ce jeune journaliste sorti de L’UCL en 2007 se lance, tête baissée, en tant que pigiste pour Vers l’Avenir et RTL, il s’occupera ensuite des bulletins d’info sur Radio Contact. Il se met ensuite à bosser pour le magazine « indices », toujours sur RTL TVI.
C’est alors qu’il intègre les Niouzz sur la RTBF, tournant sérieux dans sa vie qui le verra prendre place au sein d’une chaîne publique, dont il fait actuellement partie des futurs piliers.
Je me souviens de ses débuts, légèrement balbutiant aux côtés de Joëlle Scoriels, ce bonhomme introduit comme Monsieur Web est très vite passé de second couteau à personnage principal de l’émission Sans chichi.
Lui qui a l’air très timide tire très bien son épingle du jeu, est-ce un jeu ?
Personne ne peut le dire.
Fin 2011, il est choisi par la RTBF pour co-présenter l’émission The Voice Belgique aux côtés de Maureen Louys, puis Génies en herbe avec la toute aussi adorable Elodie de Sélys, émission rebaptisée Génies en web, diffusée sur le net.
Lui qui a l’air très timide tire très bien son épingle du jeu, est-ce un jeu ?
Personne ne peut le dire.
Fin 2011, il est choisi par la RTBF pour co-présenter l’émission The Voice Belgique aux côtés de Maureen Louys, puis Génies en herbe avec la toute aussi adorable Elodie de Sélys, émission rebaptisée Génies en web, diffusée sur le net.
© Martin Godfroid RTBF
Depuis 2012, c’est la partie internet de l’émission « 69 minutes sans chichi » qu’il anime, un jeudi sur deux sur la RTBF. On notera au passage que manifestement, ce jeune aime à bien s’entourer pour les émissions qu’il anime ; Joëlle, Maureen et Elodie, ça pourrait être une émission muette que je continuerais à regarder.
Adrien, natif de La Hulpe voulait tout d’abord être ambulancier-urgentiste, puis ensuite joueur de football, la suite en a décidé autrement, tout autre parcours, à 100 à l’heure.
Il confie qu’il lui est difficile maintenant de concilier vie de famille et vie professionnelle tant la charge de travail est lourde.
Mais quand on assure.
Adrien, natif de La Hulpe voulait tout d’abord être ambulancier-urgentiste, puis ensuite joueur de football, la suite en a décidé autrement, tout autre parcours, à 100 à l’heure.
Il confie qu’il lui est difficile maintenant de concilier vie de famille et vie professionnelle tant la charge de travail est lourde.
Mais quand on assure.
© Martin Godfroid RTBF
Ce n’est pas spécialement quelqu’un de casanier, ce qui fait qu’on peut le croiser dans pas mal d’endroits branchés, que ce soit du Brabant wallon ou de la capitale. Les studios n’étant pas loin.
En tant que garçon hyperactif, lors de ses études, il a travaillé pour gagner sa croûte, dans un restaurant, chez un avocat, au rayon crèmerie d’un supermarché et la liste est encore longue.
Ce qui nous plaît chez Adrien, c’est sa bonne bouille, son côté honnête qui inspire confiance, un bonhomme.
En tant que garçon hyperactif, lors de ses études, il a travaillé pour gagner sa croûte, dans un restaurant, chez un avocat, au rayon crèmerie d’un supermarché et la liste est encore longue.
Ce qui nous plaît chez Adrien, c’est sa bonne bouille, son côté honnête qui inspire confiance, un bonhomme.
© Martin Godfroid RTBF
Anecdote qui vaut son pesant d’or, en 4ème humanité, son professeur lui a dit que de toutes façons il n’irait nulle part et que ça ne servait à rien de continuer ses études, l’effet inverse s’est produit et il s’est mis à carburer, on voit le résultat, chapeau bas !
Adrien déclare tout de même que c’est une phrase qui peut briser les gens. Pour réussir dans la vie, il faut défoncer toutes les portes et le faire de manière créative et originale. Il est clair que pour s’en sortir, il faut sortir su lot.
Adrien aime bien manger chez Clément, pour son ambiance et sa grande terrasse.
Alors fieu, Standard champion ?
Ce sera dur mais quand on est supporter d’un club en général, on aime y croire jusqu’au bout.
Toujours à 100 à l’heure, ce tout jeune tient le bon bout et Wawa magazine lui souhaite une belle et longue carrière.
Brasserie Chez Clément :
230, rue de la Bruyère
1332 Genval
Tel : + 32 (0) 2/652.33.92
info@brasseriechezclement.be
Fermé le dimanche et jours fériés
Adrien déclare tout de même que c’est une phrase qui peut briser les gens. Pour réussir dans la vie, il faut défoncer toutes les portes et le faire de manière créative et originale. Il est clair que pour s’en sortir, il faut sortir su lot.
Adrien aime bien manger chez Clément, pour son ambiance et sa grande terrasse.
Alors fieu, Standard champion ?
Ce sera dur mais quand on est supporter d’un club en général, on aime y croire jusqu’au bout.
Toujours à 100 à l’heure, ce tout jeune tient le bon bout et Wawa magazine lui souhaite une belle et longue carrière.
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