La malpropreté publique ce sont les jets de mégots, de déjections canines, de déchets verts, et plus récemment l’abandon de masques ou de gants.
Par ailleurs, certains citoyens peu respectueux vident régulièrement leurs poubelles ménagères dans ou à côté des quelque 450 poubelles publiques réparties sur Wavre, Bierges et Limal.
À Wavre, la vingtaine d’agents communaux affectés à la propreté publique le déplorent quotidiennement, quels que soient les efforts déployés et leur réactivité par rapport aux nombreux dépôts clandestins qui leur sont signalés.
L’opération rubalise est donc le point de départ d’une ère nouvelle, placée sous le signe de la propreté !
Sur la rubalise qui encadrera le dépôt clandestin, un écriteau sera apposé afin de rappeler à l’auteur, à chaque fois, les sanctions auxquelles il s’expose.
Namur a tenté l’expérience et a constaté que l’action, si elle est bien menée, est effectivement de nature à freiner le passage à l’acte.
Cette expérience sera tentée au cas par cas, selon la fréquentation et la disposition des lieux ainsi que la gravité de l’infraction.
L’action n’empêchera nullement la recherche immédiate d’indices et la verbalisation dans la foulée si nécessaire.
Ajoutons à cela le fait que la Ville de Wavre a approuvé la désignation de trois nouveaux fonctionnaires sanctionnateurs provinciaux et que la zone de police se dote également de caméras fixes temporaires, dont les principes et modalités ont été approuvés au conseil communal du 23 juin dernier.
Pour rappel, le règlement général de police interdit « de déposer, déverser, jeter ou laisser choir sur la voie publique tout ce qui est de nature à porter atteinte à la propreté, la salubrité ou la sécurité publique » sous peine d’une sanction variant entre 60 € et 120 € et pouvant atteindre 350 € en cas de récidive (https://www.police.be/5271/sites/5271/files/attachments/R%C3%A8glement%20G%C3%A9n%C3%A9ral%20de%20Police_Version%202018.pdf ).
Le cas échéant, les infractions peuvent être qualifiées en infractions environnementales.
Par ailleurs, certains citoyens peu respectueux vident régulièrement leurs poubelles ménagères dans ou à côté des quelque 450 poubelles publiques réparties sur Wavre, Bierges et Limal.
À Wavre, la vingtaine d’agents communaux affectés à la propreté publique le déplorent quotidiennement, quels que soient les efforts déployés et leur réactivité par rapport aux nombreux dépôts clandestins qui leur sont signalés.
L’opération rubalise est donc le point de départ d’une ère nouvelle, placée sous le signe de la propreté !
Sur la rubalise qui encadrera le dépôt clandestin, un écriteau sera apposé afin de rappeler à l’auteur, à chaque fois, les sanctions auxquelles il s’expose.
Namur a tenté l’expérience et a constaté que l’action, si elle est bien menée, est effectivement de nature à freiner le passage à l’acte.
Cette expérience sera tentée au cas par cas, selon la fréquentation et la disposition des lieux ainsi que la gravité de l’infraction.
L’action n’empêchera nullement la recherche immédiate d’indices et la verbalisation dans la foulée si nécessaire.
Ajoutons à cela le fait que la Ville de Wavre a approuvé la désignation de trois nouveaux fonctionnaires sanctionnateurs provinciaux et que la zone de police se dote également de caméras fixes temporaires, dont les principes et modalités ont été approuvés au conseil communal du 23 juin dernier.
Des macarons « Ici commence la mer » ont également été placés à proximité d’avaloirs du centre-ville.
Pour rappel, le règlement général de police interdit « de déposer, déverser, jeter ou laisser choir sur la voie publique tout ce qui est de nature à porter atteinte à la propreté, la salubrité ou la sécurité publique » sous peine d’une sanction variant entre 60 € et 120 € et pouvant atteindre 350 € en cas de récidive (https://www.police.be/5271/sites/5271/files/attachments/R%C3%A8glement%20G%C3%A9n%C3%A9ral%20de%20Police_Version%202018.pdf ).
Le cas échéant, les infractions peuvent être qualifiées en infractions environnementales.