« J’ai démarré cette passion il y a plus de 50 ans avec un modèle réduit qui effectuait des vols circulaires, se souvient Francis Floor, président du club. Attaché à un câble de 12 m,
l’avion évoluait de façon assez limitée.
L’arrivée de la télécommande m’a offert un champ d’action beaucoup plus large. »
Le modélisme aérien ou aéromodélisme s'est pour une part développé en symbiose presque totale avec l'aviation dont il s'efforce de reproduire les représentants à des échelles différentes. Les ordres de taille peuvent beaucoup varier, de quelques dizaines de grammes à 150 kilos, d'un décimètre à 8 ou 9 mètres d'envergure.
Le paramètre le plus important pour pouvoir s’adonner à cette passion est sans conteste le terrain qui doit offrir un rayon d’action de 400 m à l’aéromodéliste.
« D’autres contraintes sont liées au bien-être des gens. Nos petites machines sont relativement bruyantes, il a donc fallu tenir compte des éventuelles nuisances sonores. On a d‘ailleurs été quelque peu précurseurs en la matière en limitant le nombre de nos membres à 65.»
Installé à l‘origine dans le zoning nord de Wavre, le club a été forcé de déménager et s’est retrouvé à Hamme-Mille à quelques pas de la base militaire de Beauvechain où volent d’autres coucous.
« Le club évolue depuis ses débuts dans une atmosphère conviviale et bon-enfant dans le respect du voisinage ».
l’avion évoluait de façon assez limitée.
L’arrivée de la télécommande m’a offert un champ d’action beaucoup plus large. »
Le modélisme aérien ou aéromodélisme s'est pour une part développé en symbiose presque totale avec l'aviation dont il s'efforce de reproduire les représentants à des échelles différentes. Les ordres de taille peuvent beaucoup varier, de quelques dizaines de grammes à 150 kilos, d'un décimètre à 8 ou 9 mètres d'envergure.
Le paramètre le plus important pour pouvoir s’adonner à cette passion est sans conteste le terrain qui doit offrir un rayon d’action de 400 m à l’aéromodéliste.
« D’autres contraintes sont liées au bien-être des gens. Nos petites machines sont relativement bruyantes, il a donc fallu tenir compte des éventuelles nuisances sonores. On a d‘ailleurs été quelque peu précurseurs en la matière en limitant le nombre de nos membres à 65.»
Installé à l‘origine dans le zoning nord de Wavre, le club a été forcé de déménager et s’est retrouvé à Hamme-Mille à quelques pas de la base militaire de Beauvechain où volent d’autres coucous.
« Le club évolue depuis ses débuts dans une atmosphère conviviale et bon-enfant dans le respect du voisinage ».
Fanas de vol ou de sol
Dans un club d’aéromodélisme, on trouve les acharnés de la construction ou ceux qui ne jurent que par le vol.
« Certains sont capables de passer des heures pour arranger un petit détail, d’autres n’en n’ont cure et se soucie uniquement de savoir si leur avion va décoller. »
On l’aura compris, ce hobby peut développer des talents de constructeurs, il apprend la patience, augmente la concentration et permet d‘acquérir certaines notions d‘aérodynamique. Sans compter qu’il peut parfois être très physique.
« Quand votre avion se plante à 500 m, il faut bien aller le rechercher! »
Pour débuter, il faut compter un budget de plus ou moins 250 euros si on opte pour du matériel neuf et la moitié si l’on choisi la solution de l’occasion
.
« On organise chaque année à Wavre une exposition doublée d’une bourse d’échange qui permet notamment au débutant d’acquérir son matériel à bon prix. »
Quant à l’apprentissage sur le terrain, l’aéroclub de Wavre met un point d’honneur à former les néophytes.
« Nous sommes un club de loisirs où les membres viennent pour se détendre, pour papoter entre copains, pour échanger des infos sur les nouvelles techniques. Nous ne cherchons à aucun prix à développer l’élitisme. Chez nous se côtoient ouvrier, boulanger et ambassadeur, des gens animés par une passion commune, celle de l’aéromodélisme. »
Il reste que ce hobby est aussi tributaire de la météo. Si le mauvais temps en refroidit plus d’un, le vent et la pluie empêchent carrément tout vol. L’un parce qu’il déstabilise l’avion, l’autre parce qu’elle risque d’endommager l’émetteur.
Anne Desemberg
Aéroclub de Wavre
Siège social A.C.W.
Avenue Baudelaire 20
1300 Wavre
aeroclub.wavre@gmail.com
Dans un club d’aéromodélisme, on trouve les acharnés de la construction ou ceux qui ne jurent que par le vol.
« Certains sont capables de passer des heures pour arranger un petit détail, d’autres n’en n’ont cure et se soucie uniquement de savoir si leur avion va décoller. »
On l’aura compris, ce hobby peut développer des talents de constructeurs, il apprend la patience, augmente la concentration et permet d‘acquérir certaines notions d‘aérodynamique. Sans compter qu’il peut parfois être très physique.
« Quand votre avion se plante à 500 m, il faut bien aller le rechercher! »
Pour débuter, il faut compter un budget de plus ou moins 250 euros si on opte pour du matériel neuf et la moitié si l’on choisi la solution de l’occasion
.
« On organise chaque année à Wavre une exposition doublée d’une bourse d’échange qui permet notamment au débutant d’acquérir son matériel à bon prix. »
Quant à l’apprentissage sur le terrain, l’aéroclub de Wavre met un point d’honneur à former les néophytes.
« Nous sommes un club de loisirs où les membres viennent pour se détendre, pour papoter entre copains, pour échanger des infos sur les nouvelles techniques. Nous ne cherchons à aucun prix à développer l’élitisme. Chez nous se côtoient ouvrier, boulanger et ambassadeur, des gens animés par une passion commune, celle de l’aéromodélisme. »
Il reste que ce hobby est aussi tributaire de la météo. Si le mauvais temps en refroidit plus d’un, le vent et la pluie empêchent carrément tout vol. L’un parce qu’il déstabilise l’avion, l’autre parce qu’elle risque d’endommager l’émetteur.
Anne Desemberg
Aéroclub de Wavre
Siège social A.C.W.
Avenue Baudelaire 20
1300 Wavre
aeroclub.wavre@gmail.com