Six établissements brabançons et deux namurois vont recevoir leurs tablettes destinées aux professeurs et élèves. Un projet test de 18 mois. D'ici fin mars, 26 tablettes seront confiées aux 6ème primaires de Profondsart à Wavre.
Mais pour le directeur de l'école, Erik Dusart, pas question de délaisser complètement les bons vieux stylos et tableaux noirs. Il promet que ces tablettes ne seront qu'une aide aux élèves. "Dans un premier temps, cela va surtout servir aux recherches, de la même manière qu'un dictionnaire se trouve dans une classe. Cela servira ensuite aux productions partagées. Parce que cet outil permet aux enfants d’écrire, par exemple, une synthèse et puis de la partager avec un voisin. Il peut lui envoyer et ce copain peut écrire, à son tour dedans. Donc ça va être une petite collaboration. C’est le réseau social mais avec un usage scolaire".
Autre avantage, l'élève peut stocker directement des documents sur une boite e-mail et donc les retrouver chez lui. Mais avec des connexions internet en classe, est-ce qu'ils ne risquent pas, aussi, de troquer l'application math pour celle des jeux ?
"Il faut savoir qu’il y a des comptes qui enregistrent toute l’activité des enfants et donc vous pouvez facilement contrôler ce qu’il se passe", poursuit le directeur.
En général, les élèves sont déjà très familiers de l'ordinateur. D'ici fin mars, ce sont donc principalement les professeurs qui seront formés.
Bruno Schmitz
Mais pour le directeur de l'école, Erik Dusart, pas question de délaisser complètement les bons vieux stylos et tableaux noirs. Il promet que ces tablettes ne seront qu'une aide aux élèves. "Dans un premier temps, cela va surtout servir aux recherches, de la même manière qu'un dictionnaire se trouve dans une classe. Cela servira ensuite aux productions partagées. Parce que cet outil permet aux enfants d’écrire, par exemple, une synthèse et puis de la partager avec un voisin. Il peut lui envoyer et ce copain peut écrire, à son tour dedans. Donc ça va être une petite collaboration. C’est le réseau social mais avec un usage scolaire".
Autre avantage, l'élève peut stocker directement des documents sur une boite e-mail et donc les retrouver chez lui. Mais avec des connexions internet en classe, est-ce qu'ils ne risquent pas, aussi, de troquer l'application math pour celle des jeux ?
"Il faut savoir qu’il y a des comptes qui enregistrent toute l’activité des enfants et donc vous pouvez facilement contrôler ce qu’il se passe", poursuit le directeur.
En général, les élèves sont déjà très familiers de l'ordinateur. D'ici fin mars, ce sont donc principalement les professeurs qui seront formés.
Bruno Schmitz