La douce reconversion
Durant de nombreuses années, Didier de Radiguès a vécu une vie à cent à l’heure, il a mis son talent et son travail au service du succès et a été récompensé pour ses prouesses à plusieurs reprises. En tant que pilote de moto, Il a remporté quatre Grand Prix et a été vice-champion du monde en 1982.
Ensuite, il est passé à l’automobile où le succès fût à nouveau au ren- dez-vous avec quelques nouvelles victoires à la clef. Lorsqu’on évalue une discipline comme la course, on peut se demander ce qu’il se passe dans la tête d’un pilote professionnel, quel est son rapport avec la vie, son attitude au quotidien ?
A-t-il toujours l’air pressé ? En rencontrant Didier de Radiguès, on constate que cette passion pour la vitesse, le risque et la compétition peut aussi cacher une personnalité douce, attentive et sage. Depuis toujours, Didier ressent le besoin d’avoir un appareil photo pour l’accompagner. Follement passionné, il conservait avec pudeur ses photos pour lui seul comme un secret.
Durant de nombreuses années, Didier de Radiguès a vécu une vie à cent à l’heure, il a mis son talent et son travail au service du succès et a été récompensé pour ses prouesses à plusieurs reprises. En tant que pilote de moto, Il a remporté quatre Grand Prix et a été vice-champion du monde en 1982.
Ensuite, il est passé à l’automobile où le succès fût à nouveau au ren- dez-vous avec quelques nouvelles victoires à la clef. Lorsqu’on évalue une discipline comme la course, on peut se demander ce qu’il se passe dans la tête d’un pilote professionnel, quel est son rapport avec la vie, son attitude au quotidien ?
A-t-il toujours l’air pressé ? En rencontrant Didier de Radiguès, on constate que cette passion pour la vitesse, le risque et la compétition peut aussi cacher une personnalité douce, attentive et sage. Depuis toujours, Didier ressent le besoin d’avoir un appareil photo pour l’accompagner. Follement passionné, il conservait avec pudeur ses photos pour lui seul comme un secret.
Je considère la photographie comme des moments de retirements. Des retraites qui me vident la tête. Etant encore très actif au- jourd’hui en tant que manager et propriétaire d’une école de moto en France, je suis très pris. La photo c’est mon univers fermé où je me retrouve seul, c’est très agréable »nous confie Didier.
Maintenant je suis Didier le « sage » et avant j’étais Didier le « fou », c’est très différent. Je suis content de cette évolution, je n’aimerais pas être Didier « le vieux fou » !
Les plaisirs en Brabant Wallon
Eternellement en mouvement malgré tout, il nous confie que lorsqu’il est en Belgique, il a beaucoup de plaisir à retrouver le Brabant Wallon. Dans sa maison à La Hulpe, il profite d’une situation unique à ses yeux. « J’aime passer du temps en Brabant Wallon, à La Hulpe précisément.
C’est une région que je connais bien. Je pense que c’est un véritable luxe d’être à la fois près d’une capitale et en pleine nature. Mon épouse et moi-même avons quelques endroits où nous adorons passer des moments à deux ou avec nos enfants.
Le Naty Chang situé à Lasne est vraiment l’un de nos restaurants préférés sur la région. En plus, le patron est très sympa. Dernièrement, nous avons aussi eu le coup de cœur pour le nouveau Schievelavabo à La Hulpe».
Expo « From my Gazebo »
Les premières compétitions sportives aux- quelles participait Didier lorsqu’il était jeune adolescent il les a vécues non pas sur l’asphalte mais bel et bien en pleine mer. Amateur de voile, le jeune homme faisait partie des espoirs belges sur les championnats de Belgique, d’Europe et du monde avant de se retourner vers la moto. La mer et son caractère changeant a toujours fasciné Didier qui a décidé de lui dédier sa première série de photos.
« Les photographies de la série from my gazebo ont toutes été prises du même endroit, dans les îles d’Exumas. C’est un endroit au cœur des Bahamas où l’on trouve ce qu’on appelle un gazebo c’est en réalité une cabane en bois qui est au bord de la mer et qui a une vue à 360 degrés. J’ai travaillé deux ans sur place et on en a retiré une sélection de dix-neuf clichés. Ce qui m’intéresse ce sont les changements de couleur en fonction de la luminosité, du vent, des saisons, ça varie énormément. J’immortalise la mer et ne fais aucune retouche, c’est la nature qui fait son travail et qui me permet d’obtenir des couleurs surprenantes comme du doré, du rose, du noir... Pour moi, une belle photographie doit pouvoir habiller un intérieur, je suis à la recherche de ce type de couleurs qui font ressentir un sentiment étonnant. On dit d’ailleurs que c’est assez proche d’une peinture » explique Didier.
Eternellement en mouvement malgré tout, il nous confie que lorsqu’il est en Belgique, il a beaucoup de plaisir à retrouver le Brabant Wallon. Dans sa maison à La Hulpe, il profite d’une situation unique à ses yeux. « J’aime passer du temps en Brabant Wallon, à La Hulpe précisément.
C’est une région que je connais bien. Je pense que c’est un véritable luxe d’être à la fois près d’une capitale et en pleine nature. Mon épouse et moi-même avons quelques endroits où nous adorons passer des moments à deux ou avec nos enfants.
Le Naty Chang situé à Lasne est vraiment l’un de nos restaurants préférés sur la région. En plus, le patron est très sympa. Dernièrement, nous avons aussi eu le coup de cœur pour le nouveau Schievelavabo à La Hulpe».
Expo « From my Gazebo »
Les premières compétitions sportives aux- quelles participait Didier lorsqu’il était jeune adolescent il les a vécues non pas sur l’asphalte mais bel et bien en pleine mer. Amateur de voile, le jeune homme faisait partie des espoirs belges sur les championnats de Belgique, d’Europe et du monde avant de se retourner vers la moto. La mer et son caractère changeant a toujours fasciné Didier qui a décidé de lui dédier sa première série de photos.
« Les photographies de la série from my gazebo ont toutes été prises du même endroit, dans les îles d’Exumas. C’est un endroit au cœur des Bahamas où l’on trouve ce qu’on appelle un gazebo c’est en réalité une cabane en bois qui est au bord de la mer et qui a une vue à 360 degrés. J’ai travaillé deux ans sur place et on en a retiré une sélection de dix-neuf clichés. Ce qui m’intéresse ce sont les changements de couleur en fonction de la luminosité, du vent, des saisons, ça varie énormément. J’immortalise la mer et ne fais aucune retouche, c’est la nature qui fait son travail et qui me permet d’obtenir des couleurs surprenantes comme du doré, du rose, du noir... Pour moi, une belle photographie doit pouvoir habiller un intérieur, je suis à la recherche de ce type de couleurs qui font ressentir un sentiment étonnant. On dit d’ailleurs que c’est assez proche d’une peinture » explique Didier.
Depuis un peu moins d’un an et sous les nombreux encouragements de son épouse Laurence, Didier de Radiguès, a accepté de rendre cette série publique. Pourtant loin d’imaginer qu’il exposerait un jour et particulièrement pudique quand il s’agit de cette facette de sa personnalité, il a exposé pour la première fois à l’Affordable Art Fair de New York.
« Bien que très curieux des réactions, j’étais très inquiet de les proposer à la vente, c’est un sentiment un peu inconfortable. Par contre, j’étais content que ma première exposition se passe là-bas » confie Didier.
Il fût tout très vite rassuré grâce au galeriste sur place qui lui faisait part des premières réactions et impressions positives des amateurs d’art. Plus à l’aise avec la représenta- tion et étant donné le résultat probant de cette première expérience, il a également participé à l’Affordable Art Fair de Singapour. Au mois de février de cette année, Didier de Radiguès a exposé pour la première fois à Bruxelles à nouveau via le concept de l’A.A.F.
« Pour ces différentes expositions nous avons imprimé les photographies dans un grand format avec la technique appelée Diasec. La photo est en réalité collée entre deux plaques de plexi ce qui permet une réflexion de la lumière exceptionnelle et qui garantit la tenue de la couleur durant cent ans » explique-t-il.
« Bien que très curieux des réactions, j’étais très inquiet de les proposer à la vente, c’est un sentiment un peu inconfortable. Par contre, j’étais content que ma première exposition se passe là-bas » confie Didier.
Il fût tout très vite rassuré grâce au galeriste sur place qui lui faisait part des premières réactions et impressions positives des amateurs d’art. Plus à l’aise avec la représenta- tion et étant donné le résultat probant de cette première expérience, il a également participé à l’Affordable Art Fair de Singapour. Au mois de février de cette année, Didier de Radiguès a exposé pour la première fois à Bruxelles à nouveau via le concept de l’A.A.F.
« Pour ces différentes expositions nous avons imprimé les photographies dans un grand format avec la technique appelée Diasec. La photo est en réalité collée entre deux plaques de plexi ce qui permet une réflexion de la lumière exceptionnelle et qui garantit la tenue de la couleur durant cent ans » explique-t-il.
De Radigues school
Pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, le pilote consacre encore toute une partie de son temps à la moto.
« Quand j’ai arrêté de courir, j’ai continué à faire des sélections de pilote et j’ai réalisé que j’avais une facilité à repérer les défauts des motards. J’ai toujours constaté qu’il y avait des cours de tennis, de football, de natation mais rien pour la moto. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’ouvrir un école
Pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, le pilote consacre encore toute une partie de son temps à la moto.
« Quand j’ai arrêté de courir, j’ai continué à faire des sélections de pilote et j’ai réalisé que j’avais une facilité à repérer les défauts des motards. J’ai toujours constaté qu’il y avait des cours de tennis, de football, de natation mais rien pour la moto. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’ouvrir un école
destinée aux motards de tous les jours qui ont une moto, un permis et qui ont envie de connaitre leur limite » .
Didier et cinq autres instructeurs proposent des stages de deux jours en France et en Belgique. L’école loue des circuits et offre un stage sécurisé grâce à une liaison radio qui permet de guider le stagiaire en temps réel.
« Grâce à cette formule, notre école se différencie, nous avons obtenu une excellente réputation, j’en suis très fier. C’est très motivant pour moi de transmettre le plaisir de rouler en toute sécurité depuis maintenant dix ans ».
Toutes les infos sur : http://www.deradiguesschool.com/
En dehors de la photographie et de son école, Didier de Radiguès est manager de pilote.
« Je suis le manager de Xavier Siméon. J’espère qu’il sera mon successeur. Il est le meilleur belge en moto du moment. Il a fait un podium l’an dernier et je crois beaucoup en lui ».
Le champion s’occupe aussi d’un pilote français et d’autres jeunes talents belges.
« Je pense qu’aujourd’hui pour réussir c’est comme à mon époque, il faut avoir ça en soi, il faut s’entrainer un maximum et être encouragé. Bien sûr, la chance joue aussi un rôle très important ». confie-t-il.
Découvrez ses photographies à l’ Affordable Art Fair de Bruxelles du 7 au 10 février prochain. http://affordableartfair.com/brussels/
Pour en savoir plus sur ses projets photos : http://didierderadigues.com/
Bientôt aussi : la gamme de casque pour scooter 27 by Didier de Radiguès !
Didier et cinq autres instructeurs proposent des stages de deux jours en France et en Belgique. L’école loue des circuits et offre un stage sécurisé grâce à une liaison radio qui permet de guider le stagiaire en temps réel.
« Grâce à cette formule, notre école se différencie, nous avons obtenu une excellente réputation, j’en suis très fier. C’est très motivant pour moi de transmettre le plaisir de rouler en toute sécurité depuis maintenant dix ans ».
Toutes les infos sur : http://www.deradiguesschool.com/
En dehors de la photographie et de son école, Didier de Radiguès est manager de pilote.
« Je suis le manager de Xavier Siméon. J’espère qu’il sera mon successeur. Il est le meilleur belge en moto du moment. Il a fait un podium l’an dernier et je crois beaucoup en lui ».
Le champion s’occupe aussi d’un pilote français et d’autres jeunes talents belges.
« Je pense qu’aujourd’hui pour réussir c’est comme à mon époque, il faut avoir ça en soi, il faut s’entrainer un maximum et être encouragé. Bien sûr, la chance joue aussi un rôle très important ». confie-t-il.
Découvrez ses photographies à l’ Affordable Art Fair de Bruxelles du 7 au 10 février prochain. http://affordableartfair.com/brussels/
Pour en savoir plus sur ses projets photos : http://didierderadigues.com/
Bientôt aussi : la gamme de casque pour scooter 27 by Didier de Radiguès !