La Saint-Valentin est une bonne occasion de parler de la contraception en couple. Quand on pense contraception, on pense souvent à la pilule. Et pourtant… De nos jours, il existe au moins 18 manières de prévenir une grossesse. Ce manque de visibilité quant à la diversité des contraceptifs a poussé SIDA’SOS à créer une campagne d’information, développée par et pour les jeunes. Cette campagne, en collaboration avec les quatre Fédérations de Centres de Planning Familial, est la première de cette envergure depuis 10 ans.
Le constats des acteurs
Selon l’enquête Solidaris , la pilule, le DIU (anciennement appelé le stérilet) et le préservatif externe figurent dans le top 3 des moyens contraceptifs les plus connus, tant par les hommes que par les femmes. Les autres contraceptifs tels que l’anneau, le patch ou encore le diaphragme sont, eux, moins connus.
La campagne cherche donc à compléter et à consolider ces connaissances de base en informant sur la diversité des moyens contraceptifs disponibles pour garantir un choix libre et éclairé du moyen le plus adapté. Ces constats ont pu se confirmer lors des actions de terrain de SIDA’SOS, lors desquelles les jeunes de 15 à 30 ans font part de leurs questions et inquiétudes en matière de santé sexuelle. Il apparaît que la pilule contraceptive reste le contraceptif le plus prescrit et que trop souvent les autres méthodes sont peu évoquées. Suite à ces actions de terrain et aux chiffres préoccupants de Solidaris, le besoin d’informations des jeunes sur la contraception était plus qu’évident.
La campagne cherche donc à compléter et à consolider ces connaissances de base en informant sur la diversité des moyens contraceptifs disponibles pour garantir un choix libre et éclairé du moyen le plus adapté. Ces constats ont pu se confirmer lors des actions de terrain de SIDA’SOS, lors desquelles les jeunes de 15 à 30 ans font part de leurs questions et inquiétudes en matière de santé sexuelle. Il apparaît que la pilule contraceptive reste le contraceptif le plus prescrit et que trop souvent les autres méthodes sont peu évoquées. Suite à ces actions de terrain et aux chiffres préoccupants de Solidaris, le besoin d’informations des jeunes sur la contraception était plus qu’évident.
Une campagne commune pour une information de qualité
La méconnaissance des jeunes belges francophones concernant la diversité des méthodes contraceptives et leur utilisation est un réel problème.
C’est pour cela que SIDA’SOS a décidé, en 2015, de faire appel à l’ECS, afin de communiquer par et pour les jeunes au sujet de la contraception. Les étudiant·e·s ont ainsi élaboré une campagne de sensibilisation destinée à devenir la première de cette envergure depuis 10 ans. Elle informe les jeunes sur la diversité des contraceptifs et sur l’importance de consulter un·e professionnel·le pour choisir celui qui lui convient.
Dans un souci de centralisation et de mise à jour constante des informations, il était nécessaire de mobiliser les spécialistes du secteur psycho-médico-social. SIDA’SOS a donc fait appel à l’expertise des quatre Fédérations de Centres de Planning Familial (Fédération Laïque des Centres de Planning Familial, Fédération des Centres de Planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes, Fédération des Centres Pluralistes de Planning Familial, Fédération des Centres de Planning et de Consultations) pour enrichir cette campagne et apporter de la cohérence aux messages véhiculés.
Cette collaboration a été bénéfique puisqu’elle a permis de concevoir la première campagne rassemblant les quatre Fédérations, élaborant ainsi des outils fiables qui deviendront une référence pour les jeunes.
C’est pour cela que SIDA’SOS a décidé, en 2015, de faire appel à l’ECS, afin de communiquer par et pour les jeunes au sujet de la contraception. Les étudiant·e·s ont ainsi élaboré une campagne de sensibilisation destinée à devenir la première de cette envergure depuis 10 ans. Elle informe les jeunes sur la diversité des contraceptifs et sur l’importance de consulter un·e professionnel·le pour choisir celui qui lui convient.
Dans un souci de centralisation et de mise à jour constante des informations, il était nécessaire de mobiliser les spécialistes du secteur psycho-médico-social. SIDA’SOS a donc fait appel à l’expertise des quatre Fédérations de Centres de Planning Familial (Fédération Laïque des Centres de Planning Familial, Fédération des Centres de Planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes, Fédération des Centres Pluralistes de Planning Familial, Fédération des Centres de Planning et de Consultations) pour enrichir cette campagne et apporter de la cohérence aux messages véhiculés.
Cette collaboration a été bénéfique puisqu’elle a permis de concevoir la première campagne rassemblant les quatre Fédérations, élaborant ainsi des outils fiables qui deviendront une référence pour les jeunes.
Plus d'informations sur la campagne :
un site internet, www.moncontraceptif.be.moncontraceptif.be , régulièrement mis à jour, il sera une référence pour les jeunes et les professionnels des actions de sensibilisation lors du 14 février : distribution de pack-cadeaux dans des restaurants du Cimetière d’Ixelles