Les libéraux jugent le projet un peu mégalo, risqué financièrement et culotté politiquement puisque l'investissement, à huit mois des élections, va forcément engager les prochaines majorités.
Le bourgmestre Jean Vanderbecken justifie le projet :
"L’occasion se présente, à un moment qui n’est peut-être pas meilleur politiquement, parce qu’il y a les élections. Mais bon moi j’ai pas choisi. Il faut décider au moment où l’occasion se présente. Je pense que les pouvoirs publics ne sont pas là pour rester immobiles. Ici, on a une opportunité de faire une mixité entre de l’administratif et l’investissement pour de petites sociétés. Faire un genre de pépinière entreprises et compagnie. Si on peut donner un coup de pouce à ce niveau-là, je suis assez partisan".
Encore faut-il que GSK accepte l'offre de quatre millions d'euros, c'est apparemment en-dessous de la somme espérée par l'entreprise.
Pierre-Yves Millet
SOURCE RTBF.BE
Le bourgmestre Jean Vanderbecken justifie le projet :
"L’occasion se présente, à un moment qui n’est peut-être pas meilleur politiquement, parce qu’il y a les élections. Mais bon moi j’ai pas choisi. Il faut décider au moment où l’occasion se présente. Je pense que les pouvoirs publics ne sont pas là pour rester immobiles. Ici, on a une opportunité de faire une mixité entre de l’administratif et l’investissement pour de petites sociétés. Faire un genre de pépinière entreprises et compagnie. Si on peut donner un coup de pouce à ce niveau-là, je suis assez partisan".
Encore faut-il que GSK accepte l'offre de quatre millions d'euros, c'est apparemment en-dessous de la somme espérée par l'entreprise.
Pierre-Yves Millet
SOURCE RTBF.BE