Agé de 26 ans, il termine sa formation pour devenir ostéopathe.
‘Ce n’est pas toujours facile de coordonner la vie de famille, d’étudiant et de sportif de haut niveau’ déclare-t-il souriant. ‘J’ai compris que je pouvais faire quelque chose dans le hockey quand nous avons été champions d’Europe en 2004. J’ai été repris dans le noyau A à 16 ans’ nous affirme John-John que ses équipiers surnommaient Bigou... Il avait à l’époque une coiffure à la Fellaini.
Quand on lui demande à quel joueur il s’identifie chez ses camarades du foot, il cite Witsel ou De Bruyne pour leur travail. ‘Ce sont de gros bosseurs tout comme moi, j’adore ce genre de sportifs. Qui ne lâchent rien’ insiste le hockeyeur. Il a regardé le foot avec un regard de connaisseur car il s’intéresse à ce qu’il se passe dans le groupe après les matches.
‘Ce n’est pas toujours facile de coordonner la vie de famille, d’étudiant et de sportif de haut niveau’ déclare-t-il souriant. ‘J’ai compris que je pouvais faire quelque chose dans le hockey quand nous avons été champions d’Europe en 2004. J’ai été repris dans le noyau A à 16 ans’ nous affirme John-John que ses équipiers surnommaient Bigou... Il avait à l’époque une coiffure à la Fellaini.
Quand on lui demande à quel joueur il s’identifie chez ses camarades du foot, il cite Witsel ou De Bruyne pour leur travail. ‘Ce sont de gros bosseurs tout comme moi, j’adore ce genre de sportifs. Qui ne lâchent rien’ insiste le hockeyeur. Il a regardé le foot avec un regard de connaisseur car il s’intéresse à ce qu’il se passe dans le groupe après les matches.
Son meilleur souvenir de sportif, c’est la qualification aux Jeux Olympiques de Pekin au détriment de l’Allemagne dans une dramaturgie incroyable. Son pire souvenir, c’est le off-day contre l’Angleterre durant la dernière Coupe du Monde. ‘Comme les Diables, nous n’y avons pas cru assez. On est passé à côté de notre sujet alors que l’équipe était à notre portée et les demi-finales aussi’.
Depuis son arrivée au Waterloo Ducks, il enchaîne les succès avec des amis. Sa nouvelle famille. Il s’entend particulièrement bien avec Maxime Luycx et Vincent Van Asch avec qui il joue en équipe nationale. ‘Ce sont mes joueurs préférés en Belgique. Je rajouterais aussi Loïc Vandeweghe qui lui aussi a joué au Waterloo Ducks’ déclare John-John.
Depuis son arrivée au Waterloo Ducks, il enchaîne les succès avec des amis. Sa nouvelle famille. Il s’entend particulièrement bien avec Maxime Luycx et Vincent Van Asch avec qui il joue en équipe nationale. ‘Ce sont mes joueurs préférés en Belgique. Je rajouterais aussi Loïc Vandeweghe qui lui aussi a joué au Waterloo Ducks’ déclare John-John.
Il y a des jeunes qui arrivent dans le groupe du Waterloo Ducks dont Arnaud Flamant, gardien de but des moins de 21 ans en équipe nationale, Antoine Kina qui est un grand espoir. Les cadres changent mais la structure reste là.
Le jour de l’interview, l’entraîneur national, Marc Lammers, avait manifesté son arrêt de son rôle d’entraîneur national. ‘Je comprends son choix. Il a une société qu’il doit faire fonctionner. C’est donc difficilement compatible avec la lourde charge d’animer ce groupe. Nous avons appris énormément à son contact. Nous continuons dans sa lignée’ déclare calmement l’homme aux quatorze poumons.
Le jour de l’interview, l’entraîneur national, Marc Lammers, avait manifesté son arrêt de son rôle d’entraîneur national. ‘Je comprends son choix. Il a une société qu’il doit faire fonctionner. C’est donc difficilement compatible avec la lourde charge d’animer ce groupe. Nous avons appris énormément à son contact. Nous continuons dans sa lignée’ déclare calmement l’homme aux quatorze poumons.
Quand vous regardez un match de l’équipe nationale, l’homme, milieu de terrain, est toujours dans l’image. Infatigable. L’enfer des adversaires. Déterminant dans les moments importants. C’est le poumon du groupe. ‘Je reconnais que la nature m’a donné pas mal d’atouts mais c’est un travail quotidien de garder cette condition. Au prix de nombreux sacrifices. C’est souvent difficile mais bon, c’est mon choix’ entonne John-John.
Quand on évoque l’image du hockey belge toujours ternie par son aspect de sport de nantis et de fêtards, il répond calmement : ‘Il y a une majorité de joueurs qui font du hockey comme loisir. Ils partagent cela en faisant la fête mais raisonnablement. Comme dans tous les sports. Je me suis engagé à être parrain de trois nouveaux clubs à Ittre, Mons et Perwez. Pour rendre le hockey encore plus populaire’ annonce-t-il fièrement.
Quand on évoque l’image du hockey belge toujours ternie par son aspect de sport de nantis et de fêtards, il répond calmement : ‘Il y a une majorité de joueurs qui font du hockey comme loisir. Ils partagent cela en faisant la fête mais raisonnablement. Comme dans tous les sports. Je me suis engagé à être parrain de trois nouveaux clubs à Ittre, Mons et Perwez. Pour rendre le hockey encore plus populaire’ annonce-t-il fièrement.
Les clubs de hockey sont forcés de refuser de nombreux jeunes faute d’infrastructure. ‘Lors de mes discussions avec le Ministre des Sports, André Antoine, j’ai compris que cet homme faisait beaucoup pour le hockey’. Lorsqu’il lui demande de le rejoindre sur les listes électorales. Il accepte avec plaisir.
‘Sans faire aucune campagne, j’ai quand même fait 1.455 voix aux élections. Pas mal alors que nous étions en pleine préparation de la Coupe du Monde. J’ai vu surtout que les politiques avaient en commun le goût du travail, l’esprit d’équipe, la confiance en soi et l’expression en public. Je suis de nature calme et je suis rarement submergé par les émotions. Je n’envisage aucune carrière politique’ affirme-t-il.
L’homme se prépare à sa nouvelle carrière d’ostéopathe pour ouvrir son cabinet rapidement. Il arrêtera sa carrière après les Jeux Olympiques de Rio en 2016 pour continuer à jouer en club.
‘Vivre les Jeux, c’est magique. C’est entrer dans une famille incroyable. Devenir un exemple pour les jeunes. Etre reconnu comme athlète. Cela étant dit, quand je vois le retentissement des joueurs de foot, on devient rapidement très humble’ souligne-t-il.
Le hockey en Brabant Wallon, c’est un gros succès avec les clubs qui marchent. John- John Dohmen est un des fers de lance. C’est un exemple dans l’éthique, le respect, le travail, le fair-play, l’esprit d’équipe, le jusqu’au boutisme, ... Il est irréprochable. Aucun problème donc de l’avoir dans l’image durant tout un match.
‘Vivre les Jeux, c’est magique. C’est entrer dans une famille incroyable. Devenir un exemple pour les jeunes. Etre reconnu comme athlète. Cela étant dit, quand je vois le retentissement des joueurs de foot, on devient rapidement très humble’ souligne-t-il.
Le hockey en Brabant Wallon, c’est un gros succès avec les clubs qui marchent. John- John Dohmen est un des fers de lance. C’est un exemple dans l’éthique, le respect, le travail, le fair-play, l’esprit d’équipe, le jusqu’au boutisme, ... Il est irréprochable. Aucun problème donc de l’avoir dans l’image durant tout un match.