RENDEZ-VOUS : vous avez dit GENEATICA® 2010 ?
. Quoi ? Du 3 en 1 !
► UN FORUM EURO-REGIONAL
Une rencontre de 45 exposants – venus de Belgique et des pays limitrophes – avec un public de curieux ou d’amateurs chevronnés. Les visiteurs bénéficient cette année d’un accès libre à ce forum et à un cycle de cinq conférences, durant les deux jours du salon.
► UN SALON DE L’ÉDITION IMPRIMÉE OU ÉLECTRONIQUE
La généalogie ? Des tables et répertoires de noms, des recueils d’actes, des collections de photographies ou cartes postales, des histoires de familles, de métiers. Une façon individuelle d’entrer dans l’histoire de son village ou de sa ville. Les nombreux livres, CD ou DVD présentés au salon constituent autant de pistes pour aborder cette reconstitution d’un passé à la fois familial et collectif.
► UN ESPACE POUR LES « GÉNÉANAUTES »
GéniWal, asbl fondée en 1998, en a fait l’un de ses fondements et c’est toujours un élément de ce salon : la place de l’informatique. Bases de données à consulter, logiciels personnels ou de saisie des actes, nouveaux outils au service de la généalogie.
. Quand ?
► le samedi 9 octobre 2010, de 10 h à 19 h
► le dimanche 10 octobre 2010, de 10 h à 17 h
. Où ?
►à Wavre (Brabant wallon), dans la salle des fêtes de l’Hôtel-de-Ville
. Qui ?
► 45 exposants, associations ou professionnels, réunis pour la 6ème édition de ce salon belge francophone ouvert à toute la Belgique et aux pays frontaliers
► Une manifestation à l’initiative de GéniWal asbl, avec le soutien de la ville de Wavre et de la province du Brabant wallon
. Quoi ? Du 3 en 1 !
► UN FORUM EURO-REGIONAL
Une rencontre de 45 exposants – venus de Belgique et des pays limitrophes – avec un public de curieux ou d’amateurs chevronnés. Les visiteurs bénéficient cette année d’un accès libre à ce forum et à un cycle de cinq conférences, durant les deux jours du salon.
► UN SALON DE L’ÉDITION IMPRIMÉE OU ÉLECTRONIQUE
La généalogie ? Des tables et répertoires de noms, des recueils d’actes, des collections de photographies ou cartes postales, des histoires de familles, de métiers. Une façon individuelle d’entrer dans l’histoire de son village ou de sa ville. Les nombreux livres, CD ou DVD présentés au salon constituent autant de pistes pour aborder cette reconstitution d’un passé à la fois familial et collectif.
► UN ESPACE POUR LES « GÉNÉANAUTES »
GéniWal, asbl fondée en 1998, en a fait l’un de ses fondements et c’est toujours un élément de ce salon : la place de l’informatique. Bases de données à consulter, logiciels personnels ou de saisie des actes, nouveaux outils au service de la généalogie.
. Quand ?
► le samedi 9 octobre 2010, de 10 h à 19 h
► le dimanche 10 octobre 2010, de 10 h à 17 h
. Où ?
►à Wavre (Brabant wallon), dans la salle des fêtes de l’Hôtel-de-Ville
. Qui ?
► 45 exposants, associations ou professionnels, réunis pour la 6ème édition de ce salon belge francophone ouvert à toute la Belgique et aux pays frontaliers
► Une manifestation à l’initiative de GéniWal asbl, avec le soutien de la ville de Wavre et de la province du Brabant wallon
MÉTHODE : la généalogie … plus facile avec GENEATICA® !
G comme guides : publiés par les archives, par des éditeurs ou des asbl, vous pouvez les acquérir durant ce salon voire rencontrer leurs auteurs ; ils sont utiles à tout chercheur qui veut se repérer dans l’univers très dense des fonds d’archives et de la documentation à caractère historique, généalogique ou héraldique.
E comme enquête : la généalogie nécessite patience, méthode et persévérance ; que vous vous engagiez dans une recherche ascendante ou descendante, il vous faudra recueillir un maximum d’informations familiales, avant d’étudier les actes de l’état civil moderne et ancien qui consignent les grands événements de la vie de vos ancêtres. Démarrez cette enquête les 9 et 10 octobre 2010 !
N comme noblesse : attention aux filiations trop vite établies ! Consultez les multiples publications des sociétés historiques et des associations spécialisées qui scrutent les généalogies des familles nobles et notables. Profitez du salon pour prendre conseil.
E comme état civil : qu’il soit ancien (registres paroissiaux) ou moderne (institué en Belgique en 1796), vous le consulterez en Intranet ou sous forme de microfilms aux Archives de l’État. A Wavre, les généalogistes vous éclaireront sur cette source.
A comme archives : registres d’état civil, de bourgeoisie, de population, de milices, notariat, assistance publique, … les sources d’archives sont une mine pour le « chasseur d’ancêtres » qui les trouvera dans les dépôts de l’État mais aussi dans les communes. Nos conférences évoqueront ces nombreux documents.
T comme tables alphabétiques : qu’elles listent des noms, des lieux ou des professions, qu’elles soient d’époque, manuscrites, dactylographiées ou informatisées, à la fin d’un registre ou d’un ouvrage imprimé, elles sont l’outil essentiel au généalogiste. Vous publiez votre propre généalogie ? Ne les oubliez pas !
I comme Internet : un auxiliaire précieux ; les échanges entre généalogistes y sont nombreux ; les asbl y présentent leurs activités et y mettent en ligne des données ; les éditeurs et concepteurs de logiciels leurs produits ; tapez votre nom sur un moteur de recherche … vous serez surpris ! Vous hésitez à vous équiper ? Rendez-vous à Wavre !
C comme classement : ne vous perdez pas dans les multiples documents et références auxquels vous allez vite être confronté ! Un classement rigoureux s’impose … et l’informatisation de vos données contribuera largement à les ordonner pour une consultation ultérieure plus efficace.
A comme associations : la Belgique et le Nord de la France comptent de nombreuses associations généalogiques qui possèdent – pour les plus anciennes – un fonds de documentation unique. Ne restez pas isolé ! Devenez membre d’une asbl pour partager votre passion, échanger des données et recevoir de précieux conseils de chercheurs expérimentés. A Wavre ? 35 associations à votre écoute.
G comme guides : publiés par les archives, par des éditeurs ou des asbl, vous pouvez les acquérir durant ce salon voire rencontrer leurs auteurs ; ils sont utiles à tout chercheur qui veut se repérer dans l’univers très dense des fonds d’archives et de la documentation à caractère historique, généalogique ou héraldique.
E comme enquête : la généalogie nécessite patience, méthode et persévérance ; que vous vous engagiez dans une recherche ascendante ou descendante, il vous faudra recueillir un maximum d’informations familiales, avant d’étudier les actes de l’état civil moderne et ancien qui consignent les grands événements de la vie de vos ancêtres. Démarrez cette enquête les 9 et 10 octobre 2010 !
N comme noblesse : attention aux filiations trop vite établies ! Consultez les multiples publications des sociétés historiques et des associations spécialisées qui scrutent les généalogies des familles nobles et notables. Profitez du salon pour prendre conseil.
E comme état civil : qu’il soit ancien (registres paroissiaux) ou moderne (institué en Belgique en 1796), vous le consulterez en Intranet ou sous forme de microfilms aux Archives de l’État. A Wavre, les généalogistes vous éclaireront sur cette source.
A comme archives : registres d’état civil, de bourgeoisie, de population, de milices, notariat, assistance publique, … les sources d’archives sont une mine pour le « chasseur d’ancêtres » qui les trouvera dans les dépôts de l’État mais aussi dans les communes. Nos conférences évoqueront ces nombreux documents.
T comme tables alphabétiques : qu’elles listent des noms, des lieux ou des professions, qu’elles soient d’époque, manuscrites, dactylographiées ou informatisées, à la fin d’un registre ou d’un ouvrage imprimé, elles sont l’outil essentiel au généalogiste. Vous publiez votre propre généalogie ? Ne les oubliez pas !
I comme Internet : un auxiliaire précieux ; les échanges entre généalogistes y sont nombreux ; les asbl y présentent leurs activités et y mettent en ligne des données ; les éditeurs et concepteurs de logiciels leurs produits ; tapez votre nom sur un moteur de recherche … vous serez surpris ! Vous hésitez à vous équiper ? Rendez-vous à Wavre !
C comme classement : ne vous perdez pas dans les multiples documents et références auxquels vous allez vite être confronté ! Un classement rigoureux s’impose … et l’informatisation de vos données contribuera largement à les ordonner pour une consultation ultérieure plus efficace.
A comme associations : la Belgique et le Nord de la France comptent de nombreuses associations généalogiques qui possèdent – pour les plus anciennes – un fonds de documentation unique. Ne restez pas isolé ! Devenez membre d’une asbl pour partager votre passion, échanger des données et recevoir de précieux conseils de chercheurs expérimentés. A Wavre ? 35 associations à votre écoute.
TÉMOIGNAGE : « Généatica … 12 ans déjà ! »
En 1998, en traversant la ville de Wavre en voiture, soudain, je vois une banderole au travers de la rue « GENEATICA, première réunion de généalogie ». Je me suis dit : « Moi qui démarre en généalogie, je peux peut-être y trouver des choses intéressantes, on ne sait jamais ». Ma famille venant de la province de Namur, à la porte des Ardennes, près de la pointe de Givet, j’avais pourtant peu à chercher du côté de Wavre, le coin où j’habite pour l’instant.
Aussi, le jour J venu, j’avais une demi-journée de mon planning réservée à la visite de cette exposition. L’entrée n’était pas trop chère, et il y avait plein d’exposants. Beaucoup de monde aussi. Je commence mon tour. De superbes arbres, complétés : « Oh, ils sont plus loin que moi ceux-là ! ». Ensuite, un groupe de Philippeville, … je me rapproche déjà ! Les villages cités me transportent non loin de chez moi. J’avance encore et là, un monsieur – tout seul à sa table – parlant des ancêtres italiens. Mon mari est italien, et Dieu sait si je me suis déjà bien demandée comment faire la généalogie de ce côté-là de la famille !
En quelques réponses, il me fournit une foule d’informations, de suggestions. Que d’espoirs en vue ! Des associations françaises, des belges, des programmes de généalogie, les Mormons, des cartes, des livres, que de choix ! Le SCGD, dans ses revues exposées en démo, en a une reprenant le nom d’un de mes ancêtres. Je feuillette, regarde, revérifie encore, … Mais oui ! Il s’agit bien des miens ! En plus, je peux l’acheter ! C’est super ! Ça, je n’hésite pas une minute !
Je poursuis mon chemin au travers des allées. Voilà, je suis presque au bout, et déjà l’impression de ne pas avoir perdu mon temps du tout ! Il fait chaud et il y a beaucoup de monde. Il me reste les stands sur l’estrade et puis ce sera tout. Au milieu de cette estrade, un monsieur très agréable m’aborde et nous parlons … généalogie, bien sûr ! Et oh surprise, il est de la même région que moi ! Il connaît « mes » villages, « mes » noms de famille. Cette fois, j’y suis ! Il m’invite à voir les données disponibles sur son ordinateur.
C’est vrai qu’il y a peu d’ordinateurs dans la salle, c’est peut-être bien le seul ! Et moi qui travaille dedans, cela m’attire un peu plus. Il y a pourtant peu de données me concernant dans cet ordinateur. Aussi, ce monsieur m’invite à venir aux réunions de son association : il m’y apportera ses propres données. De fil en aiguille, je m’inscris dans cette association : GéniWal. Depuis, je ne l’ai plus quittée !
En 1998, en traversant la ville de Wavre en voiture, soudain, je vois une banderole au travers de la rue « GENEATICA, première réunion de généalogie ». Je me suis dit : « Moi qui démarre en généalogie, je peux peut-être y trouver des choses intéressantes, on ne sait jamais ». Ma famille venant de la province de Namur, à la porte des Ardennes, près de la pointe de Givet, j’avais pourtant peu à chercher du côté de Wavre, le coin où j’habite pour l’instant.
Aussi, le jour J venu, j’avais une demi-journée de mon planning réservée à la visite de cette exposition. L’entrée n’était pas trop chère, et il y avait plein d’exposants. Beaucoup de monde aussi. Je commence mon tour. De superbes arbres, complétés : « Oh, ils sont plus loin que moi ceux-là ! ». Ensuite, un groupe de Philippeville, … je me rapproche déjà ! Les villages cités me transportent non loin de chez moi. J’avance encore et là, un monsieur – tout seul à sa table – parlant des ancêtres italiens. Mon mari est italien, et Dieu sait si je me suis déjà bien demandée comment faire la généalogie de ce côté-là de la famille !
En quelques réponses, il me fournit une foule d’informations, de suggestions. Que d’espoirs en vue ! Des associations françaises, des belges, des programmes de généalogie, les Mormons, des cartes, des livres, que de choix ! Le SCGD, dans ses revues exposées en démo, en a une reprenant le nom d’un de mes ancêtres. Je feuillette, regarde, revérifie encore, … Mais oui ! Il s’agit bien des miens ! En plus, je peux l’acheter ! C’est super ! Ça, je n’hésite pas une minute !
Je poursuis mon chemin au travers des allées. Voilà, je suis presque au bout, et déjà l’impression de ne pas avoir perdu mon temps du tout ! Il fait chaud et il y a beaucoup de monde. Il me reste les stands sur l’estrade et puis ce sera tout. Au milieu de cette estrade, un monsieur très agréable m’aborde et nous parlons … généalogie, bien sûr ! Et oh surprise, il est de la même région que moi ! Il connaît « mes » villages, « mes » noms de famille. Cette fois, j’y suis ! Il m’invite à voir les données disponibles sur son ordinateur.
C’est vrai qu’il y a peu d’ordinateurs dans la salle, c’est peut-être bien le seul ! Et moi qui travaille dedans, cela m’attire un peu plus. Il y a pourtant peu de données me concernant dans cet ordinateur. Aussi, ce monsieur m’invite à venir aux réunions de son association : il m’y apportera ses propres données. De fil en aiguille, je m’inscris dans cette association : GéniWal. Depuis, je ne l’ai plus quittée !
« Les Belges et la généalogie »
Cinq questions à … Christophe DRUGY
auteur du Guide du généalogiste en Belgique (2000)
et de Retrouver ses ancêtres belges (2009)
► Pourquoi écrire des guides sur les recherches
généalogiques en Belgique ?
Comme près de 50 % des Français de la région Nord, mon arbre généalogique traverse la frontière. Après avoir animé il y a douze ans, sur Radio-France Fréquence Nord, une chronique consacrée à ce hobby, j’ai eu envie d’étudier de plus près le monde de la généalogie outre-Quiévrain et de partager, dans un guide, découvertes, rencontres et pistes de recherche qui vont avec. Si ce sont les Français qui ont institué l’état civil dans ces territoires en 1796, pour autant, la Belgique … n’est pas la France ! Son passé et ses institutions ont besoin d’être expliqués aux non-Belges, au-delà des seuls aspects généalogiques – qui intéressent tous les lecteurs, quelle que soit leur nationalité.
► La pratique s’est-elle-modifiée ces dernières années ?
Oui, ici comme ailleurs. En Belgique, les Mormons ont microfilmé les registres plus tôt qu’en France. L’informatique a bousculé le paysage associatif … plus tard. Aujourd’hui, la nouvelle donne vient de la numérisation entamée par les Archives de l’État qui modernisent aussi leurs services d’accueil au public. Gratuitement ou pas, via une adhésion à une association ou non, de nombreux organismes mettent en ligne davantage de données, tandis que les sociétés « ancestrales » restent pour l’essentiel à l’écart de ce mouvement, tout conservant des fonds manuscrits ou imprimés uniques.
► Quelle est la place de ce salon dans le calendrier des manifestations du même genre ?
Faute d’événement organisé à l’initiative de la fédération, la Belgique ne connaît que deux manifestations généalogiques à l’échelle du pays : le congrès annuel de l’association généalogique de Flandre … officiellement néerlandophone (le dernier a eu lieu à Bruxelles, celui de 2011 aura lieu à Roulers) et, une année sur deux ou presque, ce « salon de la généalogie en Belgique francophone », largement ouvert à la France et qui accueille depuis toujours la Flandre belge. Car en matière de généalogie, il est inutile de chercher à séparer Flamands et Wallons !
► Vous y venez depuis longtemps ?
J’ai connu toutes les éditions : 2000, 2002, 2006 et 2008 … et même la première, ici à Wavre en 1998 ! A Charleroi Expo, le salon rassemblait davantage à un forum d’un congrès français : une grosse « machine ». Avec cette édition gratuite pour les exposants et pour le public, à nouveau organisée à Wavre, on retrouve une dimension plus familiale ; certaines associations absentes en 2008 participent d’ailleurs à nouveau à l’événement.
► Quelles sont, précisément, les nouveautés de ce GENEATICA® 2010 ?
Le nombre d’exposants y a été multiplié par deux au moins : entre autres, pour la première fois une association spécialisée dans la recherche des verriers et le cercle de généalogie juive. De plus, les Mormons sont de retour, après plusieurs années d’absence. Côté français, les Nordistes et les professionnels sont plutôt des habitués. Pour cette édition, des conférences sont à nouveau prévues : parmi les cinq proposées, Michaël Amara, jeune universitaire belge, viendra évoquer un sujet rarement abordé : le sort des Belges qui ont fui leur pays en 1914-1918. Dans tous les cas, de nombreux échanges en perspective, en toute convivialité. Ce salon se veut aussi un rendez-vous festif entre passionnés.
Cinq questions à … Christophe DRUGY
auteur du Guide du généalogiste en Belgique (2000)
et de Retrouver ses ancêtres belges (2009)
► Pourquoi écrire des guides sur les recherches
généalogiques en Belgique ?
Comme près de 50 % des Français de la région Nord, mon arbre généalogique traverse la frontière. Après avoir animé il y a douze ans, sur Radio-France Fréquence Nord, une chronique consacrée à ce hobby, j’ai eu envie d’étudier de plus près le monde de la généalogie outre-Quiévrain et de partager, dans un guide, découvertes, rencontres et pistes de recherche qui vont avec. Si ce sont les Français qui ont institué l’état civil dans ces territoires en 1796, pour autant, la Belgique … n’est pas la France ! Son passé et ses institutions ont besoin d’être expliqués aux non-Belges, au-delà des seuls aspects généalogiques – qui intéressent tous les lecteurs, quelle que soit leur nationalité.
► La pratique s’est-elle-modifiée ces dernières années ?
Oui, ici comme ailleurs. En Belgique, les Mormons ont microfilmé les registres plus tôt qu’en France. L’informatique a bousculé le paysage associatif … plus tard. Aujourd’hui, la nouvelle donne vient de la numérisation entamée par les Archives de l’État qui modernisent aussi leurs services d’accueil au public. Gratuitement ou pas, via une adhésion à une association ou non, de nombreux organismes mettent en ligne davantage de données, tandis que les sociétés « ancestrales » restent pour l’essentiel à l’écart de ce mouvement, tout conservant des fonds manuscrits ou imprimés uniques.
► Quelle est la place de ce salon dans le calendrier des manifestations du même genre ?
Faute d’événement organisé à l’initiative de la fédération, la Belgique ne connaît que deux manifestations généalogiques à l’échelle du pays : le congrès annuel de l’association généalogique de Flandre … officiellement néerlandophone (le dernier a eu lieu à Bruxelles, celui de 2011 aura lieu à Roulers) et, une année sur deux ou presque, ce « salon de la généalogie en Belgique francophone », largement ouvert à la France et qui accueille depuis toujours la Flandre belge. Car en matière de généalogie, il est inutile de chercher à séparer Flamands et Wallons !
► Vous y venez depuis longtemps ?
J’ai connu toutes les éditions : 2000, 2002, 2006 et 2008 … et même la première, ici à Wavre en 1998 ! A Charleroi Expo, le salon rassemblait davantage à un forum d’un congrès français : une grosse « machine ». Avec cette édition gratuite pour les exposants et pour le public, à nouveau organisée à Wavre, on retrouve une dimension plus familiale ; certaines associations absentes en 2008 participent d’ailleurs à nouveau à l’événement.
► Quelles sont, précisément, les nouveautés de ce GENEATICA® 2010 ?
Le nombre d’exposants y a été multiplié par deux au moins : entre autres, pour la première fois une association spécialisée dans la recherche des verriers et le cercle de généalogie juive. De plus, les Mormons sont de retour, après plusieurs années d’absence. Côté français, les Nordistes et les professionnels sont plutôt des habitués. Pour cette édition, des conférences sont à nouveau prévues : parmi les cinq proposées, Michaël Amara, jeune universitaire belge, viendra évoquer un sujet rarement abordé : le sort des Belges qui ont fui leur pays en 1914-1918. Dans tous les cas, de nombreux échanges en perspective, en toute convivialité. Ce salon se veut aussi un rendez-vous festif entre passionnés.
L’ASBL ORGANISATRICE : GéniWal
L’informatique au service de la généalogie en Wallonie !
Depuis 1998, être membre de notre asbl, c’est :
• Pour ceux qui ont déjà entamé une recherche, l’entraide lors de nos réunions en Brabant wallon et dans les provinces du Hainaut, de Liège, du Luxembourg et de Namur, par la rencontre avec des « géniwalogistes » qui pistent leurs ancêtres dans le même secteur géographique que vous
• Pour les débutants, des séances d’initiation dispensées par des amateurs fréquentant régulièrement les dépôts d’archives
• Pour tous, des conférences sur des thèmes variés (archives, noms de famille, informatique, recherches à l’étranger, …) ou des visites guidées
• L’accès à des index en ligne ou sur CD-Rom, soit plus de 4 millions de pistes de recherches
• La consultation dans nos permanences d’autres bases de données telles que la base Nimègue (actes intégralement retranscrits), des nécrologies ou des photographies de documents divers
• Une revue trimestrielle baptisée GéniWal Magazine
• Une bibliothèque de plus de 3 000 livres ou périodiques consultables à Wavre
• De l’entraide informatique (formation à l’utilisation de logiciels)
• De l’entraide paléographique, parce que la compréhension et la retranscription des textes anciens est essentielle pour notre travail
• De l’entraide linguistique, parce que nos ancêtres étaient issus de l’ensemble des régions de notre pays, Flandre comme Wallonie
• La participation gratuite ou à tarif préférentiel à des forums et salons de généalogie en Belgique et en France
• Pour ceux qui le souhaitent et qui ont du temps, la contribution au travail de bénévolat (photos, encodage, permanences, expositions …).
Plus d’infos ? Rendez-vous sur notre site www.geniwal.eu
L’informatique au service de la généalogie en Wallonie !
Depuis 1998, être membre de notre asbl, c’est :
• Pour ceux qui ont déjà entamé une recherche, l’entraide lors de nos réunions en Brabant wallon et dans les provinces du Hainaut, de Liège, du Luxembourg et de Namur, par la rencontre avec des « géniwalogistes » qui pistent leurs ancêtres dans le même secteur géographique que vous
• Pour les débutants, des séances d’initiation dispensées par des amateurs fréquentant régulièrement les dépôts d’archives
• Pour tous, des conférences sur des thèmes variés (archives, noms de famille, informatique, recherches à l’étranger, …) ou des visites guidées
• L’accès à des index en ligne ou sur CD-Rom, soit plus de 4 millions de pistes de recherches
• La consultation dans nos permanences d’autres bases de données telles que la base Nimègue (actes intégralement retranscrits), des nécrologies ou des photographies de documents divers
• Une revue trimestrielle baptisée GéniWal Magazine
• Une bibliothèque de plus de 3 000 livres ou périodiques consultables à Wavre
• De l’entraide informatique (formation à l’utilisation de logiciels)
• De l’entraide paléographique, parce que la compréhension et la retranscription des textes anciens est essentielle pour notre travail
• De l’entraide linguistique, parce que nos ancêtres étaient issus de l’ensemble des régions de notre pays, Flandre comme Wallonie
• La participation gratuite ou à tarif préférentiel à des forums et salons de généalogie en Belgique et en France
• Pour ceux qui le souhaitent et qui ont du temps, la contribution au travail de bénévolat (photos, encodage, permanences, expositions …).
Plus d’infos ? Rendez-vous sur notre site www.geniwal.eu
PROGRAMME : 5 CONFÉRENCES *
samedi 9 octobre 2010, 14h30 :
Le sort des émigrés belges en 1914-1918.
par Michaël AMARA, docteur en histoire et attaché aux Archives Générales du Royaume (Bruxelles)
samedi 9 octobre 2010, 15h30 :
Les recherches généalogiques en Italie.
par Marc MARGARIT, président de l’association Ancêtres italiens (Paris-F)
samedi 9 octobre 2010, 16h30 :
Les recherches généalogiques de part et d’autre de la frontière franco-belge.
par Christophe DRUGY, président de l’association Racines franco-belges (Lille-F)
dimanche 10 octobre 2010, 11h :
Présentation de l’association GenVerrE, par Hubert GERARDIN, président, suivie de
Les flux des migrations verrières en Belgique, l’exemple concret du Brabant.
par Benoît PAINCHART, membre de l’association GenVerrE (Sarrebourg-F)
dimanche 10 octobre 2010, 15h :
Premier bilan de l’enquête ADN dans l’ancien duché de Brabant.
par Marc VAN DEN CLOOT, vice-président de la Vlaamse Vereniging voor Familiekunde (Antwerpen-Merksem)
* durée : 45 minutes maximum + 15 minutes de questions-réponses
samedi 9 octobre 2010, 14h30 :
Le sort des émigrés belges en 1914-1918.
par Michaël AMARA, docteur en histoire et attaché aux Archives Générales du Royaume (Bruxelles)
samedi 9 octobre 2010, 15h30 :
Les recherches généalogiques en Italie.
par Marc MARGARIT, président de l’association Ancêtres italiens (Paris-F)
samedi 9 octobre 2010, 16h30 :
Les recherches généalogiques de part et d’autre de la frontière franco-belge.
par Christophe DRUGY, président de l’association Racines franco-belges (Lille-F)
dimanche 10 octobre 2010, 11h :
Présentation de l’association GenVerrE, par Hubert GERARDIN, président, suivie de
Les flux des migrations verrières en Belgique, l’exemple concret du Brabant.
par Benoît PAINCHART, membre de l’association GenVerrE (Sarrebourg-F)
dimanche 10 octobre 2010, 15h :
Premier bilan de l’enquête ADN dans l’ancien duché de Brabant.
par Marc VAN DEN CLOOT, vice-président de la Vlaamse Vereniging voor Familiekunde (Antwerpen-Merksem)
* durée : 45 minutes maximum + 15 minutes de questions-réponses
PRATIQUE : INFORMATIONS & CONTACTS
Le lieu ? La salle des fêtes et le cloître de l’Hôtel de Ville de Wavre (Brabant wallon)
L’entrée ? L’accès est libre (le samedi de 10h à 19h ; le dimanche de 10h à 17h)
Stationnement : de préférence sur le parking des Mésanges (gratuit) à 300 mètres
Gare SNCB : à 5 minutes (plus d’infos sur www.b-rail.be/main/F)
Restauration : bar sur place, aux heures d’ouverture
ORGANISATION DU SALON GENEATICA® 2010
GéniWal asbl
►adresse postale : BP 87, B-1300 Wavre Centre
►siège et local : place de la Cure, 24 à Wavre
►téléphone : 02 767 42 40 ou 0476 22 96 12
►courriel : yves@geniwal.eu (Yves HERALY, président)
► site Internet : www.geniwal.eu
Le lieu ? La salle des fêtes et le cloître de l’Hôtel de Ville de Wavre (Brabant wallon)
L’entrée ? L’accès est libre (le samedi de 10h à 19h ; le dimanche de 10h à 17h)
Stationnement : de préférence sur le parking des Mésanges (gratuit) à 300 mètres
Gare SNCB : à 5 minutes (plus d’infos sur www.b-rail.be/main/F)
Restauration : bar sur place, aux heures d’ouverture
ORGANISATION DU SALON GENEATICA® 2010
GéniWal asbl
►adresse postale : BP 87, B-1300 Wavre Centre
►siège et local : place de la Cure, 24 à Wavre
►téléphone : 02 767 42 40 ou 0476 22 96 12
►courriel : yves@geniwal.eu (Yves HERALY, président)
► site Internet : www.geniwal.eu