Deuxième collaboration entre Mozart et da Ponte après Les Noces de Figaro, le livret est proposé par le librettiste (selon ses Mémoires) au compositeur à la fin du printemps 1787, pour répondre à une commande du Théâtre national de Prague passée en janvier 1787, après le succès de leur ouvrage précédent. Mozart y travailla du mois de juillet à la veille de la création ; sa célèbre ouverture aurait été écrite durant la nuit précédant la répétition générale.
La première eut lieu au théâtre Nostitz de Prague le 29 octobre 1787, avec la troupe qui y avait repris Les Noces de Figaro. L’œuvre rencontre un immense succès contrairement à la création viennoise, le 7 mai 1788 au Burgtheater, qui se heurte au goût conservateur du public local (« La musique de Mozart est beaucoup trop difficile pour le chant » écrit Rosenberg, le 16 mai), malgré les modifications effectuées par Mozart. Il y eut néanmoins quatorze représentations.
Don Giovanni est, avec La Flûte enchantée, l’opéra qui eut le plus d’influence sur les compositeurs romantiques, par son mélange d’éléments comiques (buffa) et tragiques (seria) – synthèse annoncée par sa qualification de dramma giocoso (« drame joyeux »). L’ouvrage est aujourd’hui considéré comme un des opéras majeurs de Mozart avec Les Noces de Figaro et La Flûte enchantée, mais aussi de tout l’art lyrique. Richard Wagner le qualifiait d’« opéra des opéras ».
La première eut lieu au théâtre Nostitz de Prague le 29 octobre 1787, avec la troupe qui y avait repris Les Noces de Figaro. L’œuvre rencontre un immense succès contrairement à la création viennoise, le 7 mai 1788 au Burgtheater, qui se heurte au goût conservateur du public local (« La musique de Mozart est beaucoup trop difficile pour le chant » écrit Rosenberg, le 16 mai), malgré les modifications effectuées par Mozart. Il y eut néanmoins quatorze représentations.
Don Giovanni est, avec La Flûte enchantée, l’opéra qui eut le plus d’influence sur les compositeurs romantiques, par son mélange d’éléments comiques (buffa) et tragiques (seria) – synthèse annoncée par sa qualification de dramma giocoso (« drame joyeux »). L’ouvrage est aujourd’hui considéré comme un des opéras majeurs de Mozart avec Les Noces de Figaro et La Flûte enchantée, mais aussi de tout l’art lyrique. Richard Wagner le qualifiait d’« opéra des opéras ».
CHÂTEAU DE BOIS-SEIGNEUR-ISAAC
DU 28 AU 31 AOÛT À 21H
Le village de Bois-Seigneur-Isaac doit son nom à Isaac de Valenciennes, membre d’une illustre famille du Hainaut, qui au 11ème siècle aurait planté un bois, dit le « Bois planté », qui existe toujours le long de la route menant vers le village voisin de Lillois. Le château, qui remonte probablement au 13ème siècle, faisait partie d’une série de forteresses établies par le comté de Hainaut pour protéger sa frontière avec le duché de Brabant.
Jusqu’au début du 18ème siècle, la seigneurie et le château se transmirent dans la descendance du Seigneur Isaac, appartenant successivement aux familles du Bois, de Huldenberg, de Dave et de Sainte-Aldegonde. Racheté en 1712 par Messire Antoine de Belhomme, l’ancien château féodal fut transformé dans les années 1730 en un château de plaisance, dont le style trahit une forte influence française, édifié sur les fondations de trois côtés du polygone primitif.
Le seul témoin de la forteresse médiévale est la tour circulaire séparée du château, qui est encore dotée de ses meurtrières. Les façades du château ont été classées comme « patrimoine exceptionnel » par la Région wallonne et restaurées en 2006 avec l’aide de celle-ci.
Arrivée en 1810 suite à un mariage, la famille Snoy habite le château depuis cinq générations. Le comte Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) s’est particulièrement illustré comme Secrétaire général du Ministère des affaires économiques, négociateur et signataire du Traité de Rome et Ministre des Finances.
Le « jardin français » et le parc « à l’anglaise » à l’arrière du château offrent une jolie perspective sur l’ancienne maison du garde-chasse construite vers 1840. Parmi les multiples arbres remarquables, nous attirons votre attention sur les ifs, les cèdres de l’Atlas, les magnifiques hêtres pourpres ainsi que la très romantique charmille taillée en berceau.
DU 28 AU 31 AOÛT À 21H
Le village de Bois-Seigneur-Isaac doit son nom à Isaac de Valenciennes, membre d’une illustre famille du Hainaut, qui au 11ème siècle aurait planté un bois, dit le « Bois planté », qui existe toujours le long de la route menant vers le village voisin de Lillois. Le château, qui remonte probablement au 13ème siècle, faisait partie d’une série de forteresses établies par le comté de Hainaut pour protéger sa frontière avec le duché de Brabant.
Jusqu’au début du 18ème siècle, la seigneurie et le château se transmirent dans la descendance du Seigneur Isaac, appartenant successivement aux familles du Bois, de Huldenberg, de Dave et de Sainte-Aldegonde. Racheté en 1712 par Messire Antoine de Belhomme, l’ancien château féodal fut transformé dans les années 1730 en un château de plaisance, dont le style trahit une forte influence française, édifié sur les fondations de trois côtés du polygone primitif.
Le seul témoin de la forteresse médiévale est la tour circulaire séparée du château, qui est encore dotée de ses meurtrières. Les façades du château ont été classées comme « patrimoine exceptionnel » par la Région wallonne et restaurées en 2006 avec l’aide de celle-ci.
Arrivée en 1810 suite à un mariage, la famille Snoy habite le château depuis cinq générations. Le comte Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) s’est particulièrement illustré comme Secrétaire général du Ministère des affaires économiques, négociateur et signataire du Traité de Rome et Ministre des Finances.
Le « jardin français » et le parc « à l’anglaise » à l’arrière du château offrent une jolie perspective sur l’ancienne maison du garde-chasse construite vers 1840. Parmi les multiples arbres remarquables, nous attirons votre attention sur les ifs, les cèdres de l’Atlas, les magnifiques hêtres pourpres ainsi que la très romantique charmille taillée en berceau.
Début du spectacle à 21H – Durée : 2H
Place numérotée et réservée en tribune assise :
30 euros
35 euros
Formule PASSION : 55 euros comprenant place de 1ère catégorie, parking, programme et open bar Village dès 19H45
* prix hors frais de réservation
Place numérotée et réservée en tribune assise :
30 euros
35 euros
Formule PASSION : 55 euros comprenant place de 1ère catégorie, parking, programme et open bar Village dès 19H45
* prix hors frais de réservation
LA DIRECTION ARTISTIQUE
PATRICK POIVRE D’ARVOR | MISE EN SCENE
France
MANON SAVARY | MISE EN SCENE
France
PATRICK POIVRE D’ARVOR | MISE EN SCENE
France
MANON SAVARY | MISE EN SCENE
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