B19 en Walifornie
En 2013, ce cercle est né à Bruxelles. Le B19. B de l’avenue Van Bever. 19 pour le numéro du bâtiment. A Uccle. A côté du David Lloyd. Un cercle qui a dépoussiéré l’image des anciens clubs.
Aux commandes, John-Alexander Bogaerts. A la base, c’est lui, le fils ainé du feu trublion Rudy Bogaerts. Personnage incroyable, hélas trop tôt disparu, qui fût le précepteur d’un autre « pas facile à gérer » : Laurent de Belgique.
Editeur parfois irresponsable du Pan, le dernier vrai journal satirique belge, il est très controversé car il allume sans ambages à tous les niveaux.
A la mort de son père, John-Alexander, reprend le flambeau du journal. Son frère reprenant l’école du Jury Central.
Il s’est décidé à lancer un cercle d’affaires pas vraiment comme les autres.
Un véritable mouvement avec des jeunes entrepreneurs. L’accès financier est moins cher. Les conférences ont lieu sous forme de petit-déjeuners ou apéritifs afin de ne pas bloquer le temps de midi.
C’est le succès immédiat avec des centaines d’adhérents. Soutenus pas des amis entrepreneurs qui en ont marre du mode de fonctionnement réactionnaire des anciens cercles.
Une fois Bruxelles créé, c’est une magnifique maison de maître à Liège qui accueille la version liégeoise du B19 dont la présidence est assurée par François Fornieri, le fondateur de Mithra. A Anvers, c’est Dirk Wouters, le CEO de Bank van Breda qui pilote le comité. Mons. Luxembourg et Gand ont suivi.
Si vous êtes membre d’un des clubs B19, vous avez accès aux autres clubs. C’est donc le seul cercle d’affaires national. C’est un atout indéniable. Vous rejoignez les 1.500 membres actuels.
En 2013, ce cercle est né à Bruxelles. Le B19. B de l’avenue Van Bever. 19 pour le numéro du bâtiment. A Uccle. A côté du David Lloyd. Un cercle qui a dépoussiéré l’image des anciens clubs.
Aux commandes, John-Alexander Bogaerts. A la base, c’est lui, le fils ainé du feu trublion Rudy Bogaerts. Personnage incroyable, hélas trop tôt disparu, qui fût le précepteur d’un autre « pas facile à gérer » : Laurent de Belgique.
Editeur parfois irresponsable du Pan, le dernier vrai journal satirique belge, il est très controversé car il allume sans ambages à tous les niveaux.
A la mort de son père, John-Alexander, reprend le flambeau du journal. Son frère reprenant l’école du Jury Central.
Il s’est décidé à lancer un cercle d’affaires pas vraiment comme les autres.
Un véritable mouvement avec des jeunes entrepreneurs. L’accès financier est moins cher. Les conférences ont lieu sous forme de petit-déjeuners ou apéritifs afin de ne pas bloquer le temps de midi.
C’est le succès immédiat avec des centaines d’adhérents. Soutenus pas des amis entrepreneurs qui en ont marre du mode de fonctionnement réactionnaire des anciens cercles.
Une fois Bruxelles créé, c’est une magnifique maison de maître à Liège qui accueille la version liégeoise du B19 dont la présidence est assurée par François Fornieri, le fondateur de Mithra. A Anvers, c’est Dirk Wouters, le CEO de Bank van Breda qui pilote le comité. Mons. Luxembourg et Gand ont suivi.
Si vous êtes membre d’un des clubs B19, vous avez accès aux autres clubs. C’est donc le seul cercle d’affaires national. C’est un atout indéniable. Vous rejoignez les 1.500 membres actuels.
Ecole 19
La famille Bogaerts au travers de David-Ian est très active dans les écoles de jury central et la Bogaerts International School.
Ils ont investi le magnifique bâtiment de Latours de Frein.
Un peu d’histoire. Édifié dans le style néo-Renaissance flamande à partir de 1899, le château de Latour de Freins, avec sa jolie galerie accolée à la façade arrière, est l’œuvre de l’architecte Henri Maquet, à qui l’on doit la façade du palais royal de Bruxelles.
Il est entouré d’un parc de 8 ha qui fut dessiné par Louis Fuchs, paysagiste d’origine allemande responsable de l’aménagement du parc Léopold.
Ce dernier tira parti du relief vallonné et le planta de marronniers, de châtaigniers, de frênes, d’érables, de chênes rouges d’Amérique, de saules, de platanes et de séquoias géants, dont 28 spécimens ont été inscrits comme remarquables.
Le domaine, destiné à devenir un lieu de convalescence pour les malades des hôpitaux de Bruxelles, fut inauguré le 1er juin 1903 par le roi Léopold II en personne.
Après sa fermeture, en 1989, les lieux seront occupés par une ambassade, par une société et par la Région de Bruxelles-Capitale.
Le domaine constitue un maillon vert important. C’est là que c’est installé l’Ecole 19.
C’est une école innovante, accessible sans frais, qui dispose d’un enseignement sans profs ni diplôme. Ouvert toute l’année 24h24, 7/7.
C’est une école performante car elle a le soutien de le meilleure école du monde : Ecole 42.
Créée à Paris par le florissant Xavier Niel. Actionnaire de Free. Ce trublion de l’entrepreneuriat français ne pouvait que s’entendre avec les Bogaerts.
Cette école de coding forme les jeunes entre 18 et 30 ans. C’est une école qui crée de l’emploi. Le financement est assuré par des sociétés qui viennent puiser dans les meilleurs leurs employés.
La famille Bogaerts au travers de David-Ian est très active dans les écoles de jury central et la Bogaerts International School.
Ils ont investi le magnifique bâtiment de Latours de Frein.
Un peu d’histoire. Édifié dans le style néo-Renaissance flamande à partir de 1899, le château de Latour de Freins, avec sa jolie galerie accolée à la façade arrière, est l’œuvre de l’architecte Henri Maquet, à qui l’on doit la façade du palais royal de Bruxelles.
Il est entouré d’un parc de 8 ha qui fut dessiné par Louis Fuchs, paysagiste d’origine allemande responsable de l’aménagement du parc Léopold.
Ce dernier tira parti du relief vallonné et le planta de marronniers, de châtaigniers, de frênes, d’érables, de chênes rouges d’Amérique, de saules, de platanes et de séquoias géants, dont 28 spécimens ont été inscrits comme remarquables.
Le domaine, destiné à devenir un lieu de convalescence pour les malades des hôpitaux de Bruxelles, fut inauguré le 1er juin 1903 par le roi Léopold II en personne.
Après sa fermeture, en 1989, les lieux seront occupés par une ambassade, par une société et par la Région de Bruxelles-Capitale.
Le domaine constitue un maillon vert important. C’est là que c’est installé l’Ecole 19.
C’est une école innovante, accessible sans frais, qui dispose d’un enseignement sans profs ni diplôme. Ouvert toute l’année 24h24, 7/7.
C’est une école performante car elle a le soutien de le meilleure école du monde : Ecole 42.
Créée à Paris par le florissant Xavier Niel. Actionnaire de Free. Ce trublion de l’entrepreneuriat français ne pouvait que s’entendre avec les Bogaerts.
Cette école de coding forme les jeunes entre 18 et 30 ans. C’est une école qui crée de l’emploi. Le financement est assuré par des sociétés qui viennent puiser dans les meilleurs leurs employés.
Et puis chez Justine
Dingue de rock mais aussi de sport, John-Alexander Bogaerts, est un fan de la première heure de Justine Henin, il semblait évident que le Brabant Wallon devait aussi accueillir son B19. C’est chose faite.
C’est le dernier de la série. A Limelette. Proche de Wavre avec un accès facile. A la tête du club, Justine qui préside le comité de pilotage.
Donc, un club à Limelette avec en toile de fond, un des meilleures tenniswomen de notre planète avec 43 titres dont 7 majeurs, deux masters et une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Ce sacré petit bout de femme est une heureuse mère de famille dont le dernier Victor est né en mai dernier.
Bogaerts - Henin = B19
C’est le trio gagnant. : « Le B19 a vendu une forme de franchise à Wilink.
Un premier cercle s’ouvre à Limelette. Pour le cercle B19 du Brabant Wallon, c’est cela que l’on veut faire. Etre différent.
Ne plus entendre les conférences passéistes de personnalités qui regardent derrière eux mais bien tourné vers des entrepreneurs qui racontent leurs moments présents.
Le monde change a une vitesse dingue et il faut mettre le cercle dans cette mouvance. Etre plus qu’un réseau mais faire interagir les gens »
B19, c’est donc 7 lieux en 4 ans. A Bruxelles. Liège. Anvers. Gand. Limal. Mons. Luxembourg. Anvers. Mons. Un succès incontestable. Sympathique avec à la base, chaque fois des personnalités engagées. Ceux qui font bouger la Belgique y sont. Pas pour parader mais pour agir, transmettre, guider, interagir, …
Dingue de rock mais aussi de sport, John-Alexander Bogaerts, est un fan de la première heure de Justine Henin, il semblait évident que le Brabant Wallon devait aussi accueillir son B19. C’est chose faite.
C’est le dernier de la série. A Limelette. Proche de Wavre avec un accès facile. A la tête du club, Justine qui préside le comité de pilotage.
Donc, un club à Limelette avec en toile de fond, un des meilleures tenniswomen de notre planète avec 43 titres dont 7 majeurs, deux masters et une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Ce sacré petit bout de femme est une heureuse mère de famille dont le dernier Victor est né en mai dernier.
Bogaerts - Henin = B19
C’est le trio gagnant. : « Le B19 a vendu une forme de franchise à Wilink.
Un premier cercle s’ouvre à Limelette. Pour le cercle B19 du Brabant Wallon, c’est cela que l’on veut faire. Etre différent.
Ne plus entendre les conférences passéistes de personnalités qui regardent derrière eux mais bien tourné vers des entrepreneurs qui racontent leurs moments présents.
Le monde change a une vitesse dingue et il faut mettre le cercle dans cette mouvance. Etre plus qu’un réseau mais faire interagir les gens »
« Avoir l’opportunité de travailler avec Justine Henin dans son propre club, c’est une chance formidable. Nous allons tout faire pour devenir le « place to be » de la Walifornie. Pas uniquement avec des événements ou conférences sur le business mais aussi intégrer l’art, le sport et l’humour. Nous avons une pléthore d’humoristes belges qu’il faut mettre en avant. Ils explosent partout comme en France et au Québec. Nos sportifs et nos artistes aussi. Dans l’esprit initial, donc essentiellement le matin et en fin de journée. Pour laisser le temps à nos membres de bosser. Et puis, surtout l’aspect unique et national du B19 est un atout incroyable pour les entrepreneurs. Le Brabant Wallon est trop discret alors que des sociétés fantastiques y sont installées. Il faut faire bouger tout cela ».
B19, c’est donc 7 lieux en 4 ans. A Bruxelles. Liège. Anvers. Gand. Limal. Mons. Luxembourg. Anvers. Mons. Un succès incontestable. Sympathique avec à la base, chaque fois des personnalités engagées. Ceux qui font bouger la Belgique y sont. Pas pour parader mais pour agir, transmettre, guider, interagir, …
Allez balader votre souris sur leur site : www.b19.be. Vous découvrirez des gens qui dont partie des comités de pilotage comme le Comte Paul Buysse, Ian Gallienne (GBL), le Baron Jean Eleynbosh (Coca-Cola), Lucien d’Onofrio, Philippe Delusinne (RTL TVI), …