Art Up! 2018 Les talents de demain à l’honneur avec l’exposition « REVELATION by ART UP! »,



Dans le BW on aime l'Art ! Et encore plus l'Art contemporain, donc voici une info sympa pour vous...


Du 15 au 18 février et pour la cinquième année consécutive, Art Up!, première foire d’art contemporain en région avec 100 galeries et 32 000 visiteurs en 2017, offrira une place de choix à la jeune création artistique.


Pour sa 11è édition, ce rendez-vous commercial et culturel, désormais ancré dans le calendrier national, mettra à l’honneur huit jeunes talents issus des écoles d’art de la région des Hauts-de-France et de la Belgique.




 
 
Sélectionnés par le comité artistique de la foire parmi une trentaine de candidatures proposées par les écoles d’art de l’euro-région, les huit jeunes artistes en sortie d’études se sont emparés du thème de cette nouvelle édition, « VOLUMES ET SCULPTURES : du plus petit au plus monumental ». Leurs réalisations seront mises en scène sur Art Up! 2018 au sein de « REVELATION by ART UP! », un espace d’exposition de 80 m² au cœur de la foire. 


 
En offrant à la jeune création une opportunité unique de rencontrer galeristes, collectionneurs et professionnels du monde artistique et culturel, et de venir à la découverte d’un public averti ou d’amateurs d’art, Art Up! confirme ainsi sa volonté d’encourager et de donner à voir les talents artistiques de demain.

Volume et sculpture : une sélection, de multiples interprétations

 

Marion CAPLIER : Expérimenter. Toucher. Sentir. Tourner autour de. Face à face. Éprouver. Voici ce qui anime Marion Caplier.



A travers son installation intitulée NU SUR L’OREILLER, elle invite le spectateur à s’approcher et à se « nicher » dans des oreillers diffusant chacun une odeur qui évoque l’une de ses rencontres, pour une expérimentation sensorielle hors du commun.



Une sculpture à dimension olfactive, dont résulte un parfum unique, presque éphémère. Marion Caplier sera également invitée à réaliser une performance lors de la Nuit de l’Art le jeudi 15 février.


 



Louise CARBONNIER et Thibault SCHIELL : Louise s’intéresse à l’urbanisme, aux cartographies et à la formation de l’espace dit «du dehors». Thibault, à la chair et aux formes anthropomorphes : l’espace du «dedans».



Leur œuvre à quatre mains, constituée de deux séries, met en valeur le contrepoint entre la nature des formes qu’ils affectionnent, depuis  l’impossibilité de représenter un système organique autour d’un point central, à l’interdépendance naturelle des espaces dans la formation du paysage urbain, plus géométrique.



Charles GALLAY : Dans SI LE NOIR DU SOMMEIL S’EMPLIT PEU DES COULEURS DE L’ETRANGE, Charles Gallay explore la notion de frontière comme un espace d’intersection, entre dialogues et ambiguïté.



A travers une vidéo interactive, il propose une manière de penser le dessin comme une expérience sociale autant qu’une expérience individuelle.



Ici, le comportement du spectateur influe subtilement sur le comportement de l’œuvre. L’un et l’autre peuvent alors entretenir un rapport intime et individuel, tout en composant avec les autres spectateurs.



 




Eva LAMBIN : Telle une feuille de papier, l'espace devient support. La sculpture, elle, devient un dessin dans l’espace, dont les lignes créent plusieurs lectures possibles.



Avec ANAMORPHOSE, Eva Lambin joue avec le lieu et le spectateur.



Une prise de recul est nécessaire : l’anamorphose se dévoile en un point précis, et le spectateur ne peut observer l’image de fesses se dessiner dans l’espace que s’il prend le temps de s’éloigner pour appréhender l’œuvre dans son ensemble.

 




Alizée SEGARD : Est-ce juste un drap jeté sur une sculpture remisée ? Ou le drap en lui même fait-il l’objet de la sculpture ? La réponse se fait dans l’observation, dans le moment passé à y penser.



Avec CRISTALLISE, Alizée Ségard interroge la notion de sculpture à travers un drapé figé dans le vide. L’absence du plein dévoile ici une forme à la surface fine et fragile, comme en contrepied aux sculptures faites de marbre.


 


Rémy THELLIER : Sous le symbole fort du diamant, Remy Thellier souligne à travers EXISTENCE la préciosité de l'écosystème, de la nature et de ses éléments, en plein cœur de l'Anthropocène.


Par la présence iconique de la plante, vivante de manière inerte, il invite le spectateur à déplacer son attention du côté de la nature, à ensauvager sa pensée afin de s’équiper pour comprendre et anticiper l’avenir. 


 



Théo ROMAIN : Entre expérimentation et recherche graphique, Théo Romain cherche, avec CLOUDS (SOMEWHERE IN EUROPE), à sortir des modalités de représentation académique en appréhendant le dessin sur papier comme un volume.



Cette œuvre au graphite, représentant une mer de nuage, questionne les notions de légèreté et d’impalpabilité, tandis que la forme s’oppose et se confronte au sujet dessiné.  

 

Antoine WATEL : Utilisant le motif floral comme source inépuisable de formes et de couleurs, Antoine Watel propose une composition en deux « entités », l’une faite d’aplats de couleurs éclatantes, l’autre traitée de façon plus réaliste et en noir et blanc.



Une dualité picturale qui symbolise l’endroit et l’envers des choses à travers la matière également, en jouant avec la transparence du papier de soie sur cette huile sur toile.



Tandis que les deux « entités » fusionnent, le mouvement se créé, exprimant sa vision d’un monde dans lequel rien n’est tout blanc ou tout noir, avec de multiples niveaux d’analyse et de compréhension.


 

« REVELATION by ART UP! » : un tremplin pour la jeune création

 
Que sont devenus les anciens participants et lauréats des précédentes éditions, et quel impact l’événement a-t-il eu sur leur parcours professionnel ? 

 
 
« REVELATION by ART UP! est un véritable tremplin pour les étudiants en école d’art, l’occasion d’entrer en contact avec des galeries, et d’être remarqués par des collectionneurs » explique Richard Skryzak, professeur à l’Ecole Supérieure d’Art de Tourcoing. « A la suite de l’événement, certains d’entre eux auront la chance de poursuivre en résidence, ou même d’être exposés » poursuit-il. 



 
Une chance qui n’a pas échappé à Mathilde Claebots et Hadrien Tequi : approchés par des collectionneurs lors de leur participation aux éditions précédentes, c’est avec l’espace d’art contemporain lillois Lasécu, qui a choisi d’exposer leurs œuvres, qu’ils reviennent cette année sur Art Up!. Rémi Couvreur, candidat lors du dernier concours, avait quant à lui reçu le prix « Artiste Coup de Cœur du réseau RTE ». L’entreprise, qui œuvre pour la promotion de l’art contemporain, lui a par la suite offert l’opportunité d’exposer dans les locaux de son siège. 
 
« REVELATION by ART UP! » est donc sans conteste une chance pour les jeunes talents de voir leur travail remarqué et reconnu. Un formidable coup de pouce qui les encourage à confirmer leur orientation dans le domaine, avec à la clé des opportunités professionnelles concrètes.



 
AFG, sponsor de l’événement
 
Entreprise digitale spécialisée dans le Retail, AFG soutient les talents de la jeune création contemporaine et devient cette année le sponsor officiel de « REVELATION by ART UP! ».

 
 
« Animés par les valeurs d’innovation, de créativité et d’audace, inhérentes au domaine de l’art, nous invitions depuis de nombreuses années nos clients à découvrir ce rendez-vous incontournable de l’art contemporain qu’est Art Up!. Les jeunes talents sont pour nous le moteur de demain, aussi nous sommes fiers de soutenir le concours « REVELATION by ART UP! » pour cette 11è édition », souligne Amaury Flotat, fondateur d’AFG.


Art Up! 2018
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